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Francis Viele-Griffin (1864-1937) Né à Norfolk (Virginie).

Publié le 23/05/2020

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VIÉLÉ-GRIFFIN Francis. Poète français, né à Norfolk (États-Unis, État de Virginie), le 26 mai 1864, mort à Bergerac (Dordogne), le 12 novembre 1937. Venu tout jeune en France, il s’y fixa et passa sa vie, toute consacrée au service de la poésie, soit à Paris, soit dans ses propriétés de Touraine qu’il a chantées en tant de vers. Ses premières pièces parurent en 1885 dans la revue Lutèce et furent réunies quelques mois plus tard dans une plaquette intitulée Cueille d’avril. Viélé-Griffin s’efforçait alors d’assouplir le vers parnassien; mais déjà il fréquentait les fameux «, mardis » de Mallarmé et, dans les recueils suivants : Les Cygnes (1887), Les Joies (1889), Diptyque (1891), La Clarté de la vie (1897) ne cesse de s’affirmer dans les procédés d’écriture l’influence de plus en plus forte du maître de la rue de Rome. De 1890 à 1892 en compagnie de Bernard Lazare et de Paul Adam, Viélé-Griffin fit paraître Les Entretiens politiques et littéraires, une des revues importantes de l’histoire du mouvement symboliste. Avec moins de rigidité dogmatique que René Ghil, Viélé-Griffin y prenait parti pour le vers libre, dicté par le rythme intérieur que chacun porte en soi, ce qui ne l’empêchera point, dans ses recueils postérieurs, de conserver bien souvent la rime. C’est que sa poésie dédaigne tout préjugé d’école : elle va se rafraîchir aux sources populaires, aux vieux refrains, aux complaintes naïves, dont on trouve des échos dans La Partenza (1899), par exemple. Mais Viélé-Griffin a été également tenté par des compositions de plus grande envergure, inspirées par le folklore chrétien et les légendes germaniques (La Chevauchée d’Yeldis (1893), La Légende ailée de Wieland le forgeron) ou par la tradition homérique et pindarique : La Lumière de Grèce (1912), La Voix d’Ionie (1914). Si diverses qu’elles soient de forme, ses Poésies révèlent une unité d’inspiration : on y trouve de la tristesse, des plaintes, mais aucun relent de morbidesse « décadente ». Viélé-Griffin, poète du grand air et de la transparence, s’est voué à l’exaltation de la nature et de la vie.

« Francis Viele-Griffin 1864-1937 Né à Norfolk (Virginie).

Américain comme Stuart Merrill.

Il est un maître du vers libre et l'un des plus purs symbolistes : Cueille d'avril (1886), Joies (1889), Fleurs du chemin, la Chevauchée d'Yeldis, la Partenza ...

Il a écrit un drame, Phocas le jardinier (1898).. »

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