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FAURE, Félix (30 janvier 1841-16 février 1899)

Publié le 23/05/2020

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Ci-dessous un extrait traitant le sujet : FAURE, Félix(30 janvier 1841-16 février 1899)Président de la République (1895-1899)Ce n'est qu'après s'être enrichi par la tannerie que Félix Faure se lance dans une carrière politique. Ce document contient 165 mots soit 0 pages. Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système gratuit d’échange de ressources numériques. Cette aide totalement rédigée en format pdf sera utile aux lycéens ou étudiants ayant un devoir à réaliser ou une leçon à approfondir en Histoire-géographie.


Homme politique français. Riche négociant en cuirs du Havre, élu député républicain modéré de Seine-Inférieure en 1881, il occupa divers postes ministériels (notamment comme ministre des Colonies dans le deuxième cabinet Ferry, 1883/85). Il fut élu président de la République le 17 janv. 1895, grâce à la coalition des monarchistes et des modérés contre les républicains et les socialistes. Son septennat fut marqué par le renforcement de l'alliance franco-russe (visite de Nicolas II à Paris, 1896 ; de Félix Faure à Kronstadt, août 1897), la poursuite de l'expansion coloniale (conquête de Madagascar ; affaire de Fachoda) et par le début de l'affaire Dreyfus dans laquelle le président appuya les adversaires de la révision du procès. Félix Faure mourut subitement à l'Élysée, dans des circonstances qui défrayèrent la chronique galante parisienne.

« FAURE, Félix (30 janvier 1841-16 février 1899) Président de la République (1895-1899) Ce n’est qu’après s’être enrichi par la tannerie que Félix Faure se lance dans une carrière politique.

D’abord élu député de Seine-Maritime, plusieurs portefeuilles ministériels, dont ceux du Commerce, des Colonies et de la Marine, lui sont confiés.

En 1895 il est élu président de la République, à la suite de Casimir-Perier , par une coalition monarchiste et modérée.

Si le renforcement de l’ alliance avec la Russie , les difficultés avec l’Angleterre au moment de la crise de Fachoda , la révision du procès Dreyfus marquent son septennat, troisième président de la III e République , il est soucieux de l’étiquette et du protocole et n’admet pas que la République passe pour une pauvresse dans l’Europe des monarchies.

Ce souci lui vaut le surnom de “ Président-Soleil ”.

Les circonstances de sa mort soudaine, dans les bras de l’épouse d’un peintre académique, Mme Steinheil, provoquent un scandale. Emile Loubet lui succède à la présidence, le 18 février 1899 .. »

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