Exposé Keynes

« Exposé Keynes « Les conséquences économiques de la paix » a été écrit en 1919 par John Meynard Keynes. Introduction Conférence débute en début 1919 on crée pour la première fois une instance pour empêcher la guerre.

Lors de la conférence de paix ou « conseil des quatres » où il y avait Lloyd Georges (GB) / Orlando (Italie) / Clémenceau (France)/ Wilson (USA) Traité de Versailles donne lieu a deux positions : - Keynes, conséquences économiques de la paix en 1919 - Bainville, réponse à l’ouvrage de Keynes Il compare le traité avec une paix carthaginoise.

Les réparations exigées de l’Allemagne a été un facteur négligé de la négociation.

Les réparations de guerre étaient trop élevées pour être supporté par l’Allemagne.

Les réparations vont donner naissance à un ressentiment en Allemagne. II.

L’Europe avant le traité Avant l’Europe était compact, les pays avaient plus ou moins la même culture.

Keynes se préoccupe des Allemagne : 68 millions Empire Austro-Hongrois : 40 millions France : 41 millions Les différentes monnaies sont stables, les unes par rapport aux autres. Très grande interdépendance entre l’Allemagne et ses pays voisins. L’Europe fournissait des biens aux Etats-Unis mais la population américaine augmente et donc l’Europe répond mal à leur demande => problème dans le futur. But de la conférence pour Keynes satisfaire la justice mais aussi restaurer la vie et de penser les blessures. III.

La conférence Keynes décrit les personnages qui assistent à la conférence.

Les français sont ceux qui font des propositions. Les USA et GB ne comprennent pas bien les propositions des français car ils n’y ont pas d’intérêt. Au départ c’était un conseil des 5 : France/ GB / Japon mais peu efficace donc modifié en 4 ministres. Keynes va s’attacher à décrire les différents personnages présents lors de la conférence des paix. Selon Keynes, pour Clémenceau la guerre est un phénomène récurent durant le 20ème siècle. Keynes décrit la politique française comme une politique qui veut remonter le temps. Wilson, qui est décrit comme un homme de confiance, idéaliste.

Il lui reproche son manque d’expérience, son excès de confiance car il n’avait aucun plan. IV.

Le traité. »