Error: There's a form with more q than Q, trying to fix accroupi ACCROUPI, -IE, PARTICIPE PASSÉ ET ADJECTIF.

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Error: There's a form with more q than Q, trying to fix
accroupi
ACCROUPI, -IE, PARTICIPE PASSÉ ET ADJECTIF.
I.-- Participe passé de accroupir*
II.-- Adjectif.
A.-- [En parlant d'une personne] Ramassé sur soi, pelotonné. Antonymes : debout, droit :
ÿ 1. Sur la dalle nue qui en formait le sol, dans un angle, une femme était assise ou plutôt accroupie. Son menton était appuyé sur ses genoux, que ses deux bras croisés serraient
fortement contre sa poitrine. Ainsi ramassée sur elle-même, vêtue d'un sac brun qui l'enveloppait tout entière à larges plis, ses longs cheveux gris rabattus par devant tombant sur son
visage le long de ses jambes jusqu'à ses pieds, elle ne présentait au premier aspect qu'une forme étrange...
VICTOR HUGO, Notre-Dame de Paris, 1832, page 257.
ÿ 2. Elles ont la marche droite, le pas souple et faisant peu de bruit; quelque chose enfin de gauche et à la fois de magnifique dans les habitudes du corps qui leur permet de prendre,
accroupies, des postures de singe, et debout, des attitudes de statues.
EUGÈNE FROMENTIN, Un Été dans le Sahara, 1857, page 148.
ÿ 3.... la cange (...) eut bientôt laissé derrière elle les bateaux appesantis, dont le naos plein de passagers à l'intérieur était encore chargé sur le toit de trois ou quatre rangées d'hommes,
de femmes et d'enfants accroupis dans l'attitude si chère au peuple égyptien. À voir ces personnages agenouillés ainsi, on les eût pris pour les juges assesseurs d'Osiris, si leur
physionomie, au lieu d'exprimer le recueillement propre à des conseillers funèbres, n'eût respiré la gaieté la plus franche.
THÉOPHILE GAUTIER, Le Roman de la momie, prologue, 1858, page 209.
ÿ 4. Chevaux et cavaliers entouraient le brasier, les hommes accroupis et les jambes croisées, les nobles animaux la tête basse et l'oeil fixe.
PIERRE-ALEXIS, VICOMTE PONSON DU TERRAIL, Rocambole, les drames de Paris, tome 1, L'Héritage mystérieux, prologue 1859, page 8.
ÿ 5. On ne voulait pas que l'enfant entrât dans l'imprimerie, parce qu'il gênait, disait-on. Les ouvriers voyaient le matin en passant ce pauvre petit être assis sur le pavé, tombant de
sommeil, et souvent endormi dans l'ombre, accroupi et plié sur son panier.
VICTOR HUGO, Les Misérables, tome 1, 1862, page 110.
ÿ 6. Sa position favorite était de demeurer accroupie devant le feu; elle prenait ses petits pieds dans ses mains, et se balançait lentement sur son derrière pendant des heures.
ÉMILE ZOLA, Madeleine Férat, 1868, page 236.
ÿ 7. Nous nous baissons dans le fond de la tranchée et restons accroupis jusqu'à ce que l'endroit où nous sommes soit cinglé par l'ondée des petits éclats.
HENRI BARBUSSE, Le Feu, 1916, page 234.
ÿ 8. L'ancien brasseur fit le mouvement de se lever, mais ne réussit qu'à se tasser un peu plus dans l'angle du mur où il se tenait accroupi, les genoux à la hauteur du menton.
GEORGES BERNANOS, Monsieur Ouine, 1943, page 1516.
Remarque : Dans les énoncés, le mot peut indiquer qu'une personne est agenouillée, assise par terre, sur les talons, les genoux au menton, les jambes croisées, etc.
-- Par extension. dans le domaine des arts plastiques. (danse, peinture, sculpture) :
ÿ 9. Au milieu de la salle, une palpitante Flore de Carpeaux, accroupie comme celle du tympan du Louvre, aussi belle, sinon plus belle encore, moins souple, moins fluide peut-être...
ANDRÉ GIDE, Journal, 1905, page 188.
ÿ 10. La station accroupie met bien en valeur les proportions relatives de la cuisse et du tronc.
DOCTEUR PAUL RICHER, Nouvelle anatomie artistique du corps humain, tome 2, 1920, page 22.
ÿ 11. Il est dans la logique de la danse cosaque que la prissiadta soit complétée par des pirouettes accroupies sur une jambe pliée...
ANDRÉ LÉVINSON, Les Visages de la danse, 1933, page 212.
Remarque : Syntagmes fréquents saut accroupi; pirouette accroupie; danse accroupie; station accroupie; Vénus accroupie.
-- Au figuré, péjoratif, rare. Avachi, veule; découragé :
ÿ 12.... il [Élysée Méraut] parla surtout dans les cafés (...) qui, dans le Paris accroupi du Second Empire (...) faisaient seuls de Error: There's a form with more q than Q, trying to fix
l'opposition.
ALPHONSE DAUDET, Les Rois en exil, 1879, page 65.
ÿ 13. Ma nature, il me semble, a changé : Je suis moins accroupi. Méritai-je que tu m'en félicites, ou dois-je aux étoiles d'êtres si tellement heureux?
ANDRÉ GIDE, P. VALÉRY, Correspondance, lettre de André Gide à Paul Valéry, juillet 1894, page 211.
B.-- [En parlant d'un animal] Ramassé sur lui-même :
ÿ 14. La résignation, c'est le terrier creusé sous les racines d'un vieux chêne ou dans le défaut de quelque roche, qui met à l'abri la proie fuyante et longtemps poursuivie. Elle enfile
rapidement son ouverture étroite et ténébreuse, se tapit au fin fond, et là, tout accroupie et ramassée sur elle-même, le coeur lui battant à coups redoublés, elle écoute les aboiements
lointains de la meute et les cris des chasseurs.
MAURICE DE GUÉRIN, Journal intime, 1834, page 205.
ÿ 15. LE COCHON. -- Accroupi sur le train de derrière dans la pose d'un chien.
GUSTAVE FLAUBERT, La Tentation de Saint Antoine, 1849, page 226.
ÿ 16. Un gros chien attaché à sa chaîne, accroupi sur le ventre, près de sa niche, regardait cette scène avec mélancolie.
JULES FLEURY-HUSSON, DIT CHAMPFLEURY, Les Bourgeois de Molinchart, 1855, page 117.
ÿ 17. Mille torches (...) flambent autour des salles, Et nul souffle n'émeut leurs flammes colossales. Des ours d'or accroupis portent de lourds piliers...
CHARLES-MARIE LECONTE DE LISLE, Poèmes barbares, Le Runoïa, 1878, page 82.
Remarque : Dans les énoncés, il peut s'agir de la position d'un animal assis sur son arrière-train, couché sur le ventre; pour l'ours il s'agit d'une position naturelle.
C.-- Par analogie. [En parlant de choses]
1. [De choses concrètes, ayant une forme ramassée] :
ÿ 18.... on s'arrêta pour dîner à Guadarrama, petit village accroupi au pied de la montagne, qui n'a pour tout monument qu'une fontaine de granit érigée par Philippe II.
THÉOPHILE GAUTIER, Tra los montes, Voyages en Espagne, 1843, page 70.
ÿ 19. La gare neuve [de Metz] (...) nous étonne (...) mais rien ne s'élance, tout est retenu, accroupi, tassé...
MAURICE BARRÈS, Colette Baudoche, 1909, page 7.
ÿ 20.... ces vieux anciens les canons monstrueux à ta porte accroupis, assis sur leur derrière, en rang de canons, alignés encore tout au long du beau terre-plein, derrière le fossé, comme
pour une parade éternelle, avaient l'air de commander le défilé.
CHARLES PÉGUY, Victor-Marie, comte Hugo, 1910, page 831.
ÿ 21. Les fermes basses, accroupies comme des poules couveuses et largement adhérentes à la terre de leurs clos, ouvrirent tous les volets de leurs petites fenêtres. Le jour était levé.
ROGER MARTIN DU GARD, Les Thibault, La Sorellina, 1928, page 1197.
2. [De sentiments personnifiés, de l'âme] :

ÿ 22. Rien ne parle en ce lieu, d'où tout homme s'enfuit. La terreur, dans les coins accroupie, attend l'hôte.
VICTOR HUGO, La Légende des siècles, Eviradnus, tome 1, 1859, page 345.
ÿ 23. Dieu court dans les maudits comme un feu dans les blés.
Écrasez d'épouvante et de haine l'impie.
Faites lever votre âme aux vices accroupie,
Et récitez, avant que l'archange soit là,
Le Sharrith le matin, le soir le Néhila.
VICTOR HUGO, La Fin de Satan, Le Gibet de Jésus-Christ, 1885, page 824.
ÿ 24. Pas de gaffes ni de gaffeur dans un milieu angélique et parfaitement diaphane où toutes choses étant en acte, il n'y aurait rien dont on pût rougir puisque rien ne serait caché. Or, tel
n'est certes pas notre monde en puissance, avec sa honte et sa pudeur accroupies dans les coins d'ombre; ici, il faut manoeuvrer, louvoyer entre les guet-apens.
VLADIMIR JANKÉLÉVITCH, Le Je-ne-sais-quoi et le presque-rien, 1957, page 192.
D.-- Archaïsme et régionalisme. [En parlant des eaux] :
ÿ 25.... le directeur, (...) croyait que je finirais par habiter la Raspelière et lâcher son hôtel, et (...) assurait avoir entendu dire qu'il régnait par là des fièvres dues aux marais du Bec et à
leur eaux « accroupies ».
MARCEL PROUST, À la recherche du temps perdu, Sodome et Gomorrhe, 1922, page 1035.
STATISTIQUES : Fréquence absolue littéraire : 842. Fréquence relative littéraire : XIXe. siècle : a) 598, b) 1 960; XXe. siècle : a) 1 576, b) 1 072.

Forme dérivée du verbe "accroupir"
accroupir
ACCROUPIR (S'), verbe pronominal.
A.-- [Le sujet est une personne] Se baisser, se ramasser sur soi-même (en ployant les genoux). Antonymes : s'asseoir, se relever :
ÿ 1. Souhem s'accroupit, ployant ses genoux comme ces images de cynocéphales taillées vaguement dans un bloc carré de basalte, et, serrant ses tempes entre ses paumes sèches, parut
réfléchir profondément.
THÉOPHILE GAUTIER, Le Roman de la momie, prologue, 1858, page 257.
ÿ 2. Il était dix heures, le chantier se décida à déjeuner. (...), descendus de la taille, ils s'accroupirent, les coudes aux flancs, les fesses sur leurs talons, dans cette posture si habituelle
aux mineurs, qu'ils la gardent même hors de la mine, sans éprouver le besoin d'un pavé ou d'une poutre pour s'asseoir.
ÉMILE ZOLA, Germinal, 1885, page 1169.
ÿ 3.... ils s'accroupirent sur le matelas, tous deux. Rouletabille s'était croisé bien posément, les jambes en tailleur au travail; mais Matrena resta à quatre pattes, la mâchoire en avant, les
yeux fixes, comme un bouledogue prêt à se ruer.
GASTON LEROUX, Rouletabille chez le tsar, 1912, page 60.
ÿ 4. Sans abri, sans un trou pour se blottir, ceux qui n'étaient pas de veille s'accroupirent, le dos voûté sous la toile de tente, et, le menton sur les genoux, ils essayèrent de dormir.
ROLAND LECALELÉ, DIT ROLAND DORGELÈS, Les Croix de bois, 1919, page 271.
ÿ 5. Je fis quelques pas. Je voulais marcher seul; la famille s'écarta devant moi qui avançais en vacillant Je pus franchir le seuil de la chapelle ardente, m'accroupir sur un prie-dieu.
FRANÇOIS MAURIAC, Le Noeud de vipères, 1932, page 244.
Remarque : Dans les énoncés, le verbe peut signifier « s'asseoir sur les talons, le menton à la hauteur des genoux, ou s'asseoir les jambes croisées en tailleur ».
-- Au figuré, littéraire, rare :
a) Dans le domaine moral. Se vautrer, s'abaisser :
ÿ 6.... c'était à lui de se garder, de retrouver Dieu, au sortir de la fièvre. Au contraire il avait pris plaisir à s'accroupir dans sa chair.
ÉMILE ZOLA, La Faute de l'abbé Mouret, 1875, page 1482.
b) Dans le domaine intellectuel. S'abrutir :
ÿ 7.... n'est-ce pas pitié que de voir un jeune homme au plus brillant de sa carrière, doué d'une intelligence supérieure, dont la pensée peut embrasser le monde et ses sciences, s'abâtardir,
s'accroupir, s'abrutir, s'anéantir, à propos d'une coquinerie de fille, (...)?
PETRUS BOREL, Champavert, les contes immoraux, Passereau, l'écolier, 1833, page 186.
Remarque : Dans ce dernier emploi, le verbe peut exceptionnellement être transitif :
ÿ 8. L'utile peut bien être du côté du mariage, mais l'honnête est de l'autre.
Il empêche de voyager parmi le monde, soit pour apprendre à se faire sage ou pour enseigner les autres à l'être, et publier ce qu'on sait : il apoltronit et accroupit les bons esprits au giron
d'une femme et autour des petits enfans.
PETRUS BOREL, Champavert, les contes immoraux, Dina, la belle juive, 1833, page 116.
B.-- [Le sujet est un animal] Se pelotonner, se baisser. Antonymes : se relever, se redresser :
ÿ 9.... à un certain bruit du cavalier, l'animal s'agenouille, pour lui donner la facilité de descendre. Le dromadaire porte des fardeaux très lourds; on ne le décharge jamais pendant tout le
voyage, arrivé le soir à la station, on place des étais sous le fardeau, l'animal s'accroupit et sommeille; au jour il se relève, la charge est à sa place, il continue sa route.
EMMANUEL DIEUDONNÉ, COMTE DE LAS CASES, Le Mémorial de Sainte-Hélène, tome 1, 1823, page 135.
ÿ 10. Comme si elle [Fuseline] eût voulu récupérer un potentiel nécessaire d'énergie, laisser s'accumuler en elle une réserve suffisante de force, elle s'accroupit sur elle-même, se
pelotonna en boule pour rendre à ses muscles épuisés, avec la chaleur que leur portait son sang généreux de jeune bête, la Error: There's a form with more q than Q, trying to fix
force indispensable pour assurer son salut.
LOUIS PERGAUD, De Goupil à Margot, 1910, page 103.
ÿ 11. La baignoire que j'ai donnée à mon oiseau est beaucoup trop étroite; il y peut tout juste entrer, mais une fois qu'il est là-dedans, il ne peut plus s'ébrouer et battre des ailes; alors,
après qu'il y a trempé les pattes, le bec et le bout de la queue, il sort et, parallèlement au bassin, tout à côté, tout contre, il se baisse, s'accroupit, se trémousse exactement comme s'il
était dans l'eau.
ANDRÉ GIDE, Journal, 1914, page 427.
ÿ 12.... un moment après, d'un air grognon, il fut s'accroupir le museau allongé sur les pattes de devant, et l'échine au feu.
RENÉ MARAN, Batouala, 1921, page 187.
ÿ 13. La vache avait eu beaucoup de peine à traîner sa charge pendant un moment et Munier pour l'aider marchait devant elle, tirant sur la bride; puis voilà qu'on a vu la vache s'accroupir
sur son train de derrière, pendant que Munier tirait en sens inverse, tant qu'il pouvait, de ses deux mains.
CHARLES-FERDINAND RAMUZ, La grande peur dans la montagne, 1926, page 76.
Remarque : Dans les énoncés, le verbe peut signifier « se coucher sur le ventre, pattes pliées, s'agenouiller (le dromadaire), ou s'asseoir sur son arrière-train ».
-- Exceptionnellement en emploi transitif-causatif. Accroupir quelqu'un :
ÿ 14. Elle posa sa fille, car elle la portait toujours, dans un angle de la cellule qu'on ne voyait pas du dehors. Elle l'accroupit, l'arrangea soigneusement de manière que ni son pied ni sa
main ne dépassent l'ombre, lui dénoua ses cheveux noirs qu'elle répandit sur sa robe blanche pour la masquer, mit devant elle sa cruche et son pavé, les seuls meubles qu'elle eût,
s'imaginant que cette cruche et ce pavé la cacheraient. Et quand ce fut fini, plus tranquille, elle se mit à genoux, et pria.

VICTOR HUGO, Notre-Dame de Paris, 1832, page 544.
Remarque : Dans l'exemple suivant, accroupir est employé pour s'accroupir suivant un emploi fréquent des pronominaux à l'infinitif précédés de faire :
ÿ 15. À huit heures du soir je fis accroupir les dromadaires à Koucourou-El-Banat (le reste des filles), malgré les observations des chameliers qui affirment que ce lieu est mal famé, que le
diable y vient toutes les nuits et que certainement il nous arrivera malheur.
MAXIME DU CAMP, Le Nil, Égypte et Nubie, 1854, page 292.
C.-- Par analogie. [Le sujet peut désigner] :
1. [Une chose concrète] :
ÿ 16. Après une autre demi-heure d'arbres, de ravins et de prairies, le Rhin s'ouvre; au milieu de l'eau s'accroupit un gros rocher couvert de ruines et rattaché aux deux rives par un pont
couvert, bâti en bois, d'un aspect singulier.
VICTOR HUGO, Le Rhin, 1842, page 381.
ÿ 17. La mer se gonfle (...). Puis elle s'affaise, s'accroupit, fait le chien couchant, se met en carboulot comme vous, dans vos draps, les nuits d'hiver. Et vous avez la mer basse.
JULES RENARD, Journal, 1893, page 167.
2. [Une chose abstraite] :
ÿ 18. Je ne puis aller à Bruxelles qu'au moment annuel de l'interruption de mon travail. Pourquoi? Parce que tous mes instruments de travail sont ici, notes, livres, études faites, pages
écrites çà et là, etc. etc. Une montagne de choses sur laquelle s'accroupit mon inspiration. Transporter cela est impossible. Je suis donc cloué là où est mon nid de travail.
VICTOR HUGO, Correspondance, 1866, page 525.
ÿ 19. Qu'on se rappelle cette hystérie, cette frénésie sans camisole qui dura huit jours; cette folie furieuse d'illuminations et de drapeaux, jusque dans les mansardes où s'accroupissait la
famine; ces pères et ces mères faisant agenouiller leurs enfants devant le buste plâtreux d'une salope en bonnet phrygien qu'on trouvait partout; et l'odieuse tyrannie de cette racaille que
ne menaçait aucune force répressive.
LÉON BLOY, La Femme pauvre, 1897, page 194.
3. [Un sentiment personnifié] :
ÿ 20.... remplissant son verre, il se leva : (...). Le propre de l'amour, c'est d'errer. L'amourette n'est pas faite pour s'accroupir et s'abrutir comme une servante anglaise qui a le calus du
scrobage aux genoux. Elle n'est pas faite pour cela, elle erre gaîment, la douce amourette!
VICTOR HUGO, Les Misérables, tome 1, 1862, page 173.
STATISTIQUES : Fréquence absolue littéraire : 225. Fréquence relative littéraire : XIXe. siècle : a) 109, b) 539; XXe. siècle : a) 438, b) 309.