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En quoi la compréhension de la radioactivité et le développement du nucléaire ont il permis l’avancée de la médecine

Publié le 28/04/2024

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« Sujets oral grand 1) En quoi la compréhension de la radioactivité et le développement du nucléaire ont il permit l’avancer de la médecine Le but est de faire le lien entre les avancées scientifiques depuis la découverte de la radioactivité et les innovations technologiques en matière de diagnostiques médicales, de la radiothérapie et de radioprotection. Intro Accroche Présentation Plan Expliquer globalement la radioactivité Les objectifs de la question : le fait de comprendre la radioactivité a fait développera le nucléaire et donc la médecine Résumer les grandes étapes : Histoires, techniques utilisées, effets désirables Conclusion + ouverture Tchernobyl Pour comprendre la radioactivité il a fallu quelques années.

En effet la radioactivité est un phénomène naturelle découvert la première fois en 1857 puis redécouvert par le physicien français Henri Becquerel en 1896.

Il présente donc la radioactivité, un phénomène de rayonnement hyperphosphorescent issu de l’uranium.

Mais ce phénomène est nommé plus tard par marie Curie.

La radioactivité est un phénomène physique qui se pose sur l’instabilité des noyaux d’un atome et donc le noyau se transforme en d’autre atome.

Cependant celui, après a transformation émet des particules et de l’énergie que l’on peut appeler photon ou Energie cinétique.

Ces particules propagées lors de la transformation peuvent être matériel ou immatérielles et son appelé rayonnement.

Pour en revenir à la problématique et voir le lien avec la médecine nous remarquons que ces rayonnements entrainent une ionisation de la matière traversée soit par des ondes, soit par de l’ionisation.

C’est dans ce cas que nous retrouvons l’imagerie médicale A son tour elle dévoile les propriétés ionisantes de l’hyperphosphorescence.

Le lien entre la radioactivité est la médecine est celui que l’on connait de nos jours pour diagnostiquer plusieurs formes de symptômes à travers l’imagerie médicale. D’abord nous nous pencherons vers l’histoire de la médecine nucléaires.

Par la suite nous parlerons des techniques d’imagerie, de radiothérapie et de radioprotection et les liens qu’ils ont avec la radioactivité et le développement de la médecine nucléaire et enfin nous finirons sur les effets indésirables et les peurs de ces techniques Développement I histoire --- les découvertes Comme a été dit dans l’introduction, la radioactivité a été découvert en 1857 sans d’avantages d’élément mais en 1896 le physicien nucléaire Henri Becquerel effectue divers projets expérimentaux sur la phosphorescence mettant en lien l’uranium.

Ces expériences permettaient de prouver que seul le sel d’uranium réagissait à la phosphorescence et donc à la lumière.

Le but de l’expérience consistait à sceller une plaque photographique dans du papier noir et mettre ce paquet en contact avec différents matériaux phosphorescents.

Tous ses résultats d'expérience furent négatifs, à l'exception de ceux faisant intervenir des sels d'uranium, lesquels impressionnaient la plaque photographique à travers la couche de papier.

Cependant certain doute se posent, en effet il est vu que tous les types d’uranium réagissent non que le sel et surtout même sans exposition au préalable a la lumière.

Cela traduit que tous les composés d’uranium réagissent avec la plaque photographique comme les sels d’uranium et de l’uranium phosphorescent.

Les scientifiques comparent alors cela au rayon x.

Mais notamment Marie Curie, physicienne nucléaire, après ces travaux démontrent ces nouvelles et découvrent un champ électrique.

Un champ électrique, s’agit globalement d’un champs vectoriel créé par des particules électriquement chargées et donc modifie le champ local.

Ces champs séparent donc les rayonnements en trois faisceaux distincts ,,  est chargé positivement,  est chargé négativement (constitué d’électron) et  est neutre.

Cela équivaut à dire.

En perdant des protons et des neutrons : rayonnement alpha, en transformant un neutron en proton ou vice-versa : rayonnement beta moins ou beta plus, en émettant des photons (particules composants la lumière) : rayonnements X et gamma.

On en déduit que , sont bcp plus lourds [question éventuelle sur les rayonnements (1)].

En plus des rayons X déjà présents.

Globalement l’histoire a permis de comprendre que certaines particules chimiques permettent de traverser ces parties physiques et donc il est possible de mettre cela en lien avec l’imagerie médicale pour observer derrières les tissues et améliorer la médecine de façon inédite II techniques, mode de fonctionnement et concepts utilisées --- comment ça marche Comme on a vu jusqu’à présent la radioactivité est un domaine complexe de la physique qui permet d’expliquer les différents types de rayonnements, les rayonnements gamma ou X, alpha, beta).

On a donc déduit que ces rayonnements traversent la matière.

Nous allons alors étudier dans cette partie qu’elles ont été les techniques utilisées afin de rapprocher ces phénomènes à la médecine nucléaire. Aujourd’hui la TEP plus particulièrement topographie par émission de position est un type d’imagerie comme la scintigraphie.

Il s’agit d’une méthode d’analyse d’imagerie médicale utilisée dans la médecine nucléaire qui calcule en trois dimension une activité métabolique ou moléculaire d’un organe.

Cette technique repose sur de la méthode générale de la scintigraphie.

Le sujet reçoi des isotopes radioactifs au préalablement injecté dans le patient.

Les isotopes radioactifs vont se positionner les organes.

Cette mesure est donc possible grâce aux positons.

Le positon est l’antiparticule associé à l’électrons.

Ils font donc parti de la famille de l’antimatière. Pour faire bref, Cette particule est de même masse que l'électron négatif et porte une charge positive de même valeur absolue.

Le positon est la particule d'antimatière correspondant à l'électron négatif.

Il est émis lors de certaines désintégrations atomiques [question éventuelle sur les désintégrations (2)].

Par exemple, en imagerie médicale le fluor 18 est actuellement l’émetteur de positons (particules Beta +) le plus utilisé.

Lorsque que le positon entre en collision avec des électrons.

Il donne naissance à des photons gamma.

(Rayonnement) Dans l’étude d’une scintigraphie le patient reçoit alors une dose de produit radioactif que nous expliquerons juste après notamment du 99 m TC .

Ce dernier est associé à une molécule vectrice [question éventuelle sur les molécules vectrices(3)].

Qui permet de guider le produit radioactif sur les os dans un endroit bien spécifique du corps.

L’examen se déroule près de deux heures après intégration du produit pour avoir une quantité suffisante.

Une fois cela effectué une caméra gamma entoure le sujet.

Les isotopes radioactifs se désintègres et émettent des rayons gamma capter par la caméra.

A l’aide d’outil informatique cela crée une image dessinant la zone rechercher.

La désintégration est aussi définie par la demi-vie.

La demi-vie correspond au temps nécessaire pour que la moitié des atomes se désintégrés. III - Effet concret sur la médecine et ses limites --- qu’est-ce qu’on attend et jusqu’à où Comme nous avons remarqués, le fluor 18 est majoritairement utilisé mais il existe de multiples produits comme le glucose radioactif FDG en médecine nucléaire car ils permettent de répondre aux diverses solutions sans causer de risque majeur sur la santé.

Il s’agit en médecine de produit faible durée de vie afin de ne pas avoir de risque sur la santé au long therme par exemple la durée de vie du 99 m TC est seulement de 6H.

La scintigraphie ne présente donc presque aucun danger. Cependant elle présente des limites.

En cas de répétition à l’examen, les risques sur la santé peuvent survenir.

En effet cela reste un produit radioactif qui peut altérer à la santé.

D’abord notre organisme est habitué à réparer ces lésions en permanence. Lorsque notre corps utilise l’oxygène que nous respirons, se forment naturellement des radicaux libres dangereux pour nos cellules.

Mais notre organisme répare naturellement les lésions qu’ils peuvent causer.

Toutefois, si l’exposition à l’un de ces phénomènes est intense et / ou prolongée, les mécanismes de réparation mobilisés par l’organisme peuvent devenir insuffisants.

Il arrive aussi que ces mécanismes soient défaillants et ne puissent répondre à une telle agression.

Dans un cas comme dans l’autre, si notre corps ne parvient plus à réparer les cellules lésées, celles-ci peuvent être détruites.

Elles ne meurent pas mais se caractérisent par une mutation génétique.

La radioactivité est donc un facteur majeur de ces lésions.

Or si la fréquence de l’examen est contrôlée et sachant que la quantité de produit radioactif injectée est faible et donc n'expose donc pas le patient à des risques pour sa santé. Les allergies peuvent exister mais sont exceptionnelles.

Le premier usage de ce système est la base de l’imagerie en médecine nucléaire : la scintigraphie.

C’est la plus ancienne.

Elle consiste à administrer au patient une petite quantité de substance radioactive appelée médicament radiopharmaceutique.

Mais alors que devons-nous attendre de.... »

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