Les moyens de transports électriques sont-ils compatibles avec le développement durable ?

« Sujet : Les moyens de transports électriques sont-ils compatibles avec le développement durable ? Intro Pour commencer, deux notions doivent être préciser : le progrès technique ainsi que Le développement durable.

Le progrès technique se caractérise par un volume de connaissance pluridisciplinaire que l’homme a acquis dans le temps, et utilisé dans diverses productions de bien et de service nécessaire à l’amélioration de l’activité de travail et de l’élévation du bien être individuel et collectif.

Il est nécessaire aussi de préciser de quoi consiste le développement durable mais aussi depuis quand est-il utilisée.

Cette notion aussi appelé développement soutenable est un mode de développement qui répond aux besoins du présent, sans compromettre les capacités des générations futures à répondre aux leurs. Ce concept voit le jour qu’à partir de 1987 lors du rapport Brundtland.

Si ce mode de développement est si récent.

Les moyens de transports électriques sont-ils vraiment compatibles avec le développement durable malgré leurs couts de production très polluants ? Pour y répondre nous allons évoquer dans un premier temps les différents facteurs de ces transports électriques en faveurs de la soutenabilité.

Puis ensuite nous mettrons en évidences les limites auxquels ces transports dites électriques sont confrontés. Avant d’évoquer les facteurs parlons d’abord de la sphère théorique.

Ici ces moyens dites écologique sont soutenus par des théoriciens de la soutenabilité faible qui pensent que la dégradation du capital naturel (c’est-à-dire les ressources naturelles) n’est pas un danger pour notre avenir puisqu’on léguera aux générations futures d’autres capital comme le capital physique.

A travers du coup ces hypothèses sous quelles formes se sont-elles concrétisées ? D’une part nous avons le cas de la voiture électrique.

Ce transport qui ne rejette pas de CO2 est écologique que lorsqu’il est gardé à long terme.

Plus simplement lors de la production de ce modèle elle émet 50% de C02 en plus par rapport à une voiture thermique.

Et pour que la voiture thermique produit d’avantage de C02 que la voiture électrique il faudrait parcourir environ 40 000km soit 3ans pour un automobiliste français.

Au-delà de cette distance la voiture électrique est très écologique.

D’autres part le cas de du train électrique.

Lorsqu’il s’agit de trajet à longue distance par exemple Paris Stuttgart.

Le train prend 3h seulement face au 6h d’une voiture thermique.

Or ce n’est pas un facteur qui démontre la compatibilité avec la soutenabilité.

Eh bien si car en effet les trains émettent seulement 14g de CO2 par Km face à 104g de CO2 pour la voiture.

De plus on peut évoquer les avions à hydrogène qui peuvent dégager 0 émissions de gaz grâce l’hydrogène mais cela n’est pas électrique. »