Eluard

« Nous ne vous chantons pas trompette, Eluard I.Un grand malheur a.

Absence de vie -Saturation de phrases negatives -> absence et perte d’une forme d’humanité -Absence de vie -> oiseau -> liberté donc absence de liberté.

Les êtres humains ont été arraché à leur liberté b.

Absence de bruit -Vers 1, chanter trompette -> renvoie au chant d’honneur.

Donc musicalité -> notion de bruit.

Nous met dans une atmosphère negative. -Retentissant -> s’oppose au vers 1.

Dès le premier vers il y a une absence de bruit. c.

Des images de malheur -Allégorie vers 1 -> allégorie du malheur.

Ordre du constat. -Répétition de très )> adv d’untensité à pour objectif d’accentuer sur l’étendue du makheur.

“Bête” renvoie à une notion d’absurdité. -Superlatif -> plus bête… entire.

Croissance du malheur -Négation totale vers 1 -> ne… pas II.

La découverte des camps a.

L’horreur -Texte sur la découverte des camps de concentration donc de la deportation -> train de suppliciés et terre brûlée -> notion de deportation (synecdoque) -Au depart la poète ne fait parler que du malheur -Poète progresse en mimant la découverte de la deportation -> notion d’élargissement progressif -Qui nous mure tout vivants -> chamber à gaz.

Evoque les victimes gazées dans les chamber à gaz Nous renvoie au peuple français.

Ce qui n’ont pas réagit et qui savait b.

L’enfermement dans la honte -2eme strophe -> idée qu’il y a une chose pire que la mort -Au delà de la mortalité de l’homme, c’est la honte -Anaphore honte -Le sentiment de honte intervient après l’exposition du malheur -Le terme apparait toujours en début de vers soit en fin de vers -> insister lourdement sur ce sentiment.

C’est un sentiment qui sature le texte et qui lui donne sa cadence qui rythme le poème -Enfermement mental vers 8 -> ce qui on honte s’enferme mentalement. Enfermement dans la honte c.

La temporalité -Vers 7, conjunction de coordination -> opposition (mais), la rupture.

“Maintenant” qui vient insister sur cette rupture (adv de temps).

-> oppose les idées et le temps du passé -> avant la deportation, où on imagine (imparfait). »