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EGLOGUE victor hugo analyse

Publié le 30/04/2021

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« TEXTE 2 ; V.Hugo les comtemplations , IIe poème « eglogue » 12 (l’âme en fleurs).

Introduction ; 1° présentation de l’auteur, éléments biographique et son œuvre 2° Situation de passage ; - Ce poème appartient au livre 2 du tome 1 ; intitulé « autrefois » et dominé par le thème de la joie de vivre avant la mort de Léopoldine qui représente une censure majeure dans le recueil. - Le livre II, « l ‘âme en fleurs » est centré sur le thème de la passion amoureuse ; « l’âme » «est le siècle de la vie et la passion, « en fleurs » épanouie dans la jeunesse. -V.Hugo a eu plusieurs passion amoureuse (femmes).

Son épouse s’appelle Adèle Foucher Sa maîtresse s’appelle Juliette Drouet en 1833.

(elle lui a envoyé 20 000 billets/lettres) et en 1852, elle accompagne V.Hugo a Guernesey et a Jersey . -Le poème « Eglogue » a été fait en Septembre 18..

? , en effet le poète n’a pas indiqué l’année surement pour brouiller les pistes car Adèle ou Juliette peuvent s’y reconnaître. LECTURE LINEAIRE ; Il utilise des sizains (mêmes strophes) .

Dans chaque strophes, on a 5 alexandrins et 1 octosyllabe.

Ce sont des rimes suivies et embrassées. La première strophe est consacrée au cadre bucolique.

Strophe 1 , v1 : Dans l ‘expression « nous errions » le pronom personnel « nous » est fusionnel.

C’est un duo étroitement lié.

Les personnages sont présentés en pleine action.

« errer » signifiant marcher sans but, a l’imparfait, le verbe décrit une action durable ou habituelle, le couple « se promenait ». Les deux voyageurs ne sont pas nommés, le lecteur sait que le livreII est surtout consacré a Juliette Drouet. C ‘est donc un poème lyrique et bucolique (omniprésence du « moi »). La Sicile est le berceau de la poèsie bucolique grecque ; (ex ; théocrite de Syracuse). V.Hugo veut rendre hommages aux poètes Siciliens v2 ; « Elle est fière pour tous et pour moi seul docile » = CHIASME On a donc une opposition entre Hugo et d’autres prétendants, et également une opposition dans l’attitude de la femme aimée.

V.Hugo la obéisante et docile. V3 ; Ce vers confirme la passion amoureuse qui était dans les deux premiers vers, une simple hypothèse.

V.Hugo associe les cieux et nos pensées qui sont « rayonnante ».

C’est un ZEUGMA (un attelage).

C’est un figure de style qui consiste a associer deux complements ou 2 sujets à 1 même verbe, mais le verbe prends ici 2 sens différents. C’est le bonheur amoureux au sein de la nature, c’est un paysage d’état d’âme.

V4 : C’est un ver lyrique, il commence par « Oh ! » = interjection qui traduit attendrissement et admiration.

On a une métonimie « coeur farouche », car une prend une partie pour le haut et « farouche » veut dire qui à peur de contacter un humain.

V5 ; « que de » = combien Dans l’ombre, les amoureux sont heureux de regarder les fleurs et multiplier les baisers. »

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