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Mors de Victor Hugo dans Les Contemplations (analyse du poème)

Publié le 20/03/2022

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« Introduction Victor Hugo , l'un des plus grand poète et écrivain français de tous les temps, chef de file du mouvement romantique, est l'auteur de nombreux chef d'œuvre : Les Misérables , Les Châtiments , ou encore Les Contemplations , d'où est extrait le poème Mors . Le recueil Les Contemplations, est construit en deux parties, séparées par une date, le 4 septembre 1843, jour de la mort accidentelle de sa fille léopoldine .

La première partie, « Autrefois », est consacrée aux poèmes du bonheur, la seconde, d'où est tiré Mors, est une méditation sur la mort et la destinée humaine. Mors est un poème en vers qui présente le triomphe absolu de la mort par la description d'une atmosphère d'apocalypse.

Comment Victor Hugo utilise tes il l'allégorie traditionnel de la mort pour exprimer de façon vivante le deuil et l'espérance ? Plan de l'analyse linéaire I.

Vers 1 à 10 : La mort, cette faucheuse universelle II.

Vers 11 à 18 : La mort amène la peur et l'horreur III.

Vers 19 et 20 : Un espoir Analyse linéaire Installé au-dessus du poème avec des majuscules écrasantes et la tonalité d'éternité que lui donne l'utilisation du latin, le titre Mors préfigure l'ensemble du texte.

Le jeu initial vient donner au texte sa tonalité lyrique.

Toutefois, c'est là sa dernière manifestation. Vers 1 à 10 : La mort, cette faucheuse universelle Au vers 1, la mort nous est présentée à travers l' allégorie traditionnelle de la "faucheuse" (vers 1).

Une mort qui est constamment présente comme le suggère l'imparfait, une mort que nous connaissons de plus comme l'indique le démonstratif "cette" ; mais une mort qui surprend toujours, comme elle surprit le poète lui-même par l'utilisation du passé simple : "Je vis". Le royaume de la mort nous est précisé à travers la métaphore du "champ" qui, dans ses accents pascaliens, réduit le monde à un espace limité.

C'est la même métaphore filée qui décrit l'activité incessante de la mort : "moissonnant et fauchant" (vers 2).

La répétition des participes présents souligne le travail répétitif, alors que le verbe "aller" nous montre qu'aucun. »

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