Databac

Edward Jenner

Publié le 16/05/2020

Extrait du document

Ci-dessous un extrait traitant le sujet : Edward Jenner Ce document contient 961 mots soit 2 pages. Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système gratuit d’échange de ressources numériques. Cette aide totalement rédigée en format pdf sera utile aux lycéens ou étudiants ayant un devoir à réaliser ou une leçon à approfondir en Inventeurs et Explorateurs.

« Edward Jenner 1749-1823 Le médecin de campagne Jenner a acquis, avec raison, une grande réputation en découvrant la vaccination: l'injection d'un vaccin contre la variole.

JI ouvrit ainsi la voie à l'application du même principe pour les autres maladies conta­ gieuses.

Edward Jenner est né le 17 mai 1749 à Berkeley, dans le comté du Gloucestershire.

Son père, pasteur, mourut lorsque Edward avait cinq ans.

Il reçut la plus grande partie de son éducation de son frère aîné, également pasteur.

De treize à vingt et un ans, il travailla comme ap­ prenti chez un chirurgien.

Au cours de cette pério­ de, il acquit des connaissances médicales assez solides .

Ensuite, il se rendit à Londres, où il devint l'élève particulier du célèbre John Hunter, qui pratiquait au St.

George's Hospital.

Ils se lièrent d'une ami­ tié très franche, et Hunter eut une grande influen­ ce sur le jeune garçon .

Il encouragea Jenner à adopter une attitude indépendante vis-à-vis de la science médicale de l'époque .

Il lui conseilla à plusieurs reprises de ne pas gaspiller son temps en spéculations, mais d'acquérir plus de connaissan­ ces par ses propres observations.

Après deux ans, en 1773, Jenner retourna à Ber- Ci-dessus: La variole ou l'effet pratique de la nouvelle inocula­ tion .

Cette caricature fut publiée en 1802 par l'Association contre la vaccination, et constituait une partie de la campagne menée con­ tre Jenner .

L'image montre Jen­ ner occupé à vacciner dans un h6pital de Londres.

Peu après l'introduction de la vaccination en Angleterre, la méthode fut condamnée par de nombreux médecins et attaquée par des tracts et des critiques dans les journaux.

keley, où il ouvrit avec succès, un cabinet de médecin .

Jusqu'à cette époque, la variole était une des ma­ ladies les plus dangereuses en Europe.

Chaque nouvelle épidémie provoquait un décès sur dix malades.

Louis XV en mourut.

Certaines formes étaient plus bénignes, mais on la craignait particulièrement, car ceux qui survi­ vaient à la contamination, restaient marqués pour le reste de leur vie, par des cicatrices indélébiles, laissant la peau 'variolée'.

Elle était parfois telle­ ment atteinte, que les traits du visage ne se distin­ guaient plus.

Depuis des siècles, la Chine connaissait un moyen de s'immuniser contre la variole en respirant quel­ ques lambeaux, réduits en poudre, de la peau d'un varioleux.

L'immunisation contre la variole était apparue au XVIIe siècle en Grèce et en Turquie, sous la domi­ nation ottomane.

L'exsudat d'un malade atteint de la variole était injecté au moyen d'une aiguille dans la peau d'une personne en bonne santé.

Celle-ci était légèrement (du moins, l'espérait-on) atteinte par la maladie et était immunisée pour l'avenir.. »

↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓

Liens utiles