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Édouard VII1841-1910Fils aîné de la reine Victoria et du prince

Publié le 23/05/2020

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Roi de Grande-Bretagne et d'Irlande (1901/10). Fils aîné de la reine Victoria et du prince consort Albert de Saxe-Cobourg. Longtemps confiné par la longévité de sa mère dans des fonctions purement représentatives, il fut surtout connu comme un prince sportif, élégant et galant, et comme une figure familière de la vie de plaisirs du Paris de la Belle Époque. Devenu roi à l'âge de soixante ans, il influença profondément la politique étrangère anglaise par sa francophilie et sa mésentente avec son neveu, l'empereur Guillaume II. Il fut un des artisans de l'Entente cordiale, scellée par les accords de 1904.

« Édouard VII 1841-1910 Fils aîné de la reine Victoria et du prince Albert, il fut toujours considéré par sa mère comme un enfant manquant de sérieux et peu digne de confiance et dut se soumettre à une discipline sévère ; peut-être est-ce par réaction contre ce traitement qu'il se maintint dans des voies dissolues jugées choquantes par ses contemporains.

Marié en 1863 à la princesse Alexandra, il était à la tête de l'élégance londonienne et tenu à l'écart de la politique par sa mère.

Mais il effectua de nombreux voyages et porta un vif intérêt aux Affaires étrangères.

Quand il monta sur le trône en 1901 il ne renonça ni à ses amours ni à son goût pour le jeu, mais se montra néanmoins sur tous les points à la hauteur de sa situation : il gouvernait en se pliant strictement aux exigences constitutionnelles, n'intervenant jamais dans la politique intérieure de ses ministres mais prenant d'autre part des initiatives pour tenter d'établir la paix en Europe.

De là son surnom d'“ Édouard le Pacificateur ”.

Sous son règne fut conclue l'Entente cordiale en 1904.

Il voyagea amplement en Europe, entretenant des relations amicales avec toutes les familles régnantes du Continent ; pour beaucoup d'Anglais il était même trop ami avec les tsars de Russie ; mais il rendait à ses fonctions l'éclat que sa mère, vivant dans la retraite de son grand âge, avait abandonné.

Ce fut apprécié en Angleterre la gaieté et même le goût pour le plaisir de cet “ homme du monde ” étaient un antidote bienvenu à la gravité surannée de celle qui l'avait précédé et toute critique moraliste visant le relâchement de ses m œ urs se voyait imposer le silence par sa philanthropie.. »

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