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Edith Sitwell (1887-1964) L'un des poètes les plus importants de sa génération.

Publié le 23/05/2020

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SITWELL Lady Edith. Poétesse anglaise. Née à Scarborough le 1er septembre 1887, morte le 9 décembre 1964 à Londres. Edith Sitwell, sœur aînée d’Osbert et de Sacheverell Sitwell, fut élevée dans une famille de la noblesse. Sa carrière poétique (puisque elle en a fait une carrière) commence en 1916 quand elle publie un choix annuel de poèmes dans Wheels. Cette entreprise durera jusqu’en 1921. Dans ces volumes anthologiques, se retrouvent les trois Sitwell et divers invités, dont Aldous Huxley et Wilfred Owen. Il s’agissait de ridiculiser les conventions poétiques d’une société bourgeoise. Les premiers recueils d’Edith Sitwell étaient intitulés La Mère et autres poèmes [1915], Maisons des clowns [ 1918], Le Pégase de bois [The Wooden Pegasus, 1920], Façade (1920). Elle est alors à la recherche de motifs sonores, et pressent dans une certaine mesure les recherches du lettrisme. Ensuite, le ton s’assombrit, quelque compassion apparaît. Néanmoins, ses débuts — avec leur côté burlesque, volontaire ou involontaire, avec leur jonglerie verbale, et toute la vaticination autopublicitaire qui les accompagne — ont peut-être été ce qui demeura de son œuvre dans une certaine perspective historique. Ses Poésies complètes furent éditées en 1954. Edith Sitwell écrivit beaucoup de volumes en prose, très inégaux, dont un, singulier et attachant, sur Les Excentriques anglais [1933]. Elle fut anoblie en 1954 et, la même année, se convertit au catholicisme. L’année qui suivit sa mort, fut publiée son autobiographie, Prise en charge (1965). C’est un livre modeste où elle ne se ménage pas mais, par endroits, s’abandonne à ses partis pris : elle exécrait D.H. Lawrence mais se louait d’avoir découvert Dylar. Thomas. Avant de se raconter, elle avait évoqué différentes vies, celles de Shakespeare, de Swift, de Pope, d’Elisabeth Iere et de Victoria.

« Edith Sitwell 1887-1964 L'un des poètes les plus importants de sa génération.

Elle commença de bonne heure à écrire des vers.

Son premier livre : la Mère et autres poèmes a paru en 1915.

D'une tendance au baroque, elle a évolué vers une simplicité humaine et émouvante.

Sollicitée par le “ National Book Council ”, elle donna une série de conférences sur la poésie.

Citons ses Coutumes de la Côte d'Or (1929), Chants des rues (1942).

Elle avait reçu en 1958 le prix de poésie “ William Foyle ”.. »

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