Databac

Ecole des femmes Acte V scène 4

Publié le 07/10/2021

Extrait du document

Ci-dessous un extrait traitant le sujet : Ecole des femmes Acte V scène 4. Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système d’échange gratuit de ressources numériques ou achetez-le pour la modique somme d’un euro symbolique. Cette aide totalement rédigée en format pdf sera utile aux lycéens ou étudiants ayant un devoir à réaliser ou une leçon à approfondir en Français / Littérature.

« [email protected] Corrigé Questionnaire d’entraînement au commentaire L’Ecole des Femmes V, 4 PREMIERE PARTIE DU DEVELOPPEMENT : ARNOLPHE APPARAIT COMME UN AMOUREUX SINCERE MAIS MALADROIT. 1 ère sous-partie : Un discours aux accents lyriques . Transition entre la 1 ère et la 2 ème parties : Dans cette ultime confrontation, il apparaît donc flagrant qu’Arnolphe tente désespérément d’émouvoir Agnès en lui exprimant ses sentiments, mais on va voir que afin d’obtenir celle qu’il aime, il a aussi recours à diverses stratégies de persuasion. DEUXIEME PARTIE DU DEVELOPPEMENT : ARNOLPHE APPARAIT AUSSI COMME UN MANIPULATEUR ET A RECOURS A DIVERSES STRATEGIES DE PERSUASION. 1 ère sous-partie : La dépréciation du rival .

« Tout comme tu voudras, tu pourras te conduire.

/ Je ne m'explique point, et cela c'est tout dire.

» Il lui fait comprendre qu’elle pourra le tromper et qu’il fermera les yeux, lui qui ne cessait d’ironiser sur les maris complaisants ! C’est un euphémisme La 3 ème partie comporte 3 sous-parties : 1 ère sous partie.

Le caractère tyrannique d’Arnolphe.

2 ème sous partie.

La colère, la brutalité verbale et la menace.

3ème sous partie.

A travers Arnolphe, Molière nous adresse un message critique sur la société de son temps et même sur l’être humain en général. titre 3 ème partie : Arnolphe apparaît enfin comme un homme de pouvoir.

. 2 ème sous partie : La colère, la brutalité verbale et la menace.

(vers 1608- 1611) Procédés : Au vers 1607, la phrase mime l’impatience et la colère, par le rythme saccadé (1/2/2//3/3), de même que le parallélisme de construction, la répétition et la juxtaposition : « Ah! c'est trop me braver, trop pousser mon courroux.

» Champ lexical de la colère irrépressible : « mon courroux.

», « Vous (…) me mettez à bout » (vers 1610), « vengera » (vers 1611) L’emploi du futur qui montre que rien ne l’arrêtera dans son désir de vengeance : « Je suivrai », « vous dénicherez » (vers 1608- 1609). »

↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓

Liens utiles