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La croissance économique au XIXe siècle : de nouvelles façons de produire et de penser la société et l’économie.

Publié le 23/05/2020

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« DS histoire Classe de 1L Durée : 1h Etude critique de documents Sujet 1 : La croissance économique au XIXe siècle : de nouvelles façons de produire et de penser la société et l’économie. Consigne : A l’aide de vos connaissances, vous analysez les deux documents en expliquant les facteurs de la croissance et les transformations économiques et idéologiques qui touchent les sociétés industrielles. Document 1 : Extrait de l’autobiographie d’H.

Ford, Ma vie, mon oeuvre , 1925 Le type auquel je m'arrêtai fut appelé modèle T.

Ce nouveau modèle, dont je voulais faire (s'il était bien accueilli) notre modèle unique et le point de départ d'une vraie production en grand, avait pour trait essentiel sa simplicité...

En conséquence, en 1909, j'annonçais un beau matin sans avis préalable que, à l'avenir, nous ne construirions qu'un seul modèle et que ce serait le modèle T(...) Notre premier progrès dans l'assemblage consista à apporter le travail à l'ouvrier, au lieu d'amener l'ouvrier au travail .

Aujourd’hui toutes nos opérations s'inspirent de ces deux principes : nul homme ne doit avoir plus d'un pas à faire autant que possible, nul homme ne doit avoir à se baisser ...Le résultat net de l'application de ces principes est de réduire pour l'ouvrier la nécessité de penser et de réduire ses mouvements au minimum .

Il doit parvenir autant que possible à faire une seule chose avec un seul mouvement...L'homme qui place une pièce ne la fixe pas: la pièce peut n’être complètement fixée qu'après l'intervention de plusieurs ouvriers.

(...) Il n'y a pas dans les ateliers une seule pièce travaillée qui ne soit en mouvement.

Aucun ouvrier n'a jamais rien à transporter ni à soulever, toutes ces opérations faisant l'objet d'un service distinct, le service des transports.(...) Il faut que les ouvriers produisent le plus possible et reçoivent les plus forts salaires possibles .

(...) Si nous répandons beaucoup d'argent, cet argent se dépense.

Il enrichit les négociants, les détaillants, les fabricants et les travailleurs de tous ordres, et cette prospérité se traduit par un accroissement de demande pour nos automobiles.(...) Mon principe est d'abaisser les prix, d'étendre les opérations et de perfectionner nos voitures .

En conséquence, je commence par réduire les prix pour vendre davantage ; puis on se met à l'œuvre, et on tâche de s'arranger du nouveau prix.

Le nouveau prix oblige le coût de fabrication à descendre (…) Je pourrais probablement trouver des hommes qui feraient pour 3 dollars par jour le travail que je paye 6 dollars [mais] il me faudrait 2 et peut-être 3 de ces ouvriers pour remplacer chacun de mes ouvriers bien payés.. »

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