dissertation sur jean de la bruyère

« La Bruyère est un écrivain (moraliste français) du XVIIIe siècle, il fait partie des écrivains du classicisme.

Il a écrit « Les Caractères » qui contient 6 chapitres allant du V au XI.

Le classicisme est un mouvement qui se caractérise par la recherche de l’ordre, de la clarté, de la mesure et de la retenue.

Le classicisme a pour but de plaire surtout à la cour, et d’instruire et d’après André Gide La Bruyère ne cherche ni à étonner ni à plaire ; mais à exprimer raisonnablement ce dont il est sûr.

En quoi les caractères de La Bruyère reflètent-ils ce jugement ? Pour le savoir, nous allons rechercher la vérité et la sincérité de la bruyère dans les caractères.

Ainsi que, l’objectivité de ses idées dans les caractères.

Puis, nous verrons l’impact de la simplicité et de la clarté dans son livre à l’aide d’un plan dialectique et enfin nous verrons L’accessibilité des idées et l’efficacité de la critique social. Tout d’abord, on voit que d’après André Gide, La Bruyère ne chercherait pas à étonner ni à plaire.

Nous allons donc rechercher la vérité et la sincérité dans ses réflexions donc pour cela nous allons analyser la critique des hommes et la dénonciation de mœurs de la société parmi les réflexions de La Bruyère. La Bruyère, dans ses réflexions, porte beaucoup de critique sur les mœurs de la sociétés, par exemple sur la remarque 31 du chapitre Des biens et de fortune « Le peuple souvent a le plaisir de la tragédie : il voit périr sur le théâtre du monde les personnages les plus odieux, qui ont fait le plus de mal dans diverses scènes, et qu’il a le plus haïs.

» La Bruyère dit que le peuple aiment la tragédie car il voit sans cesse dans le monde entier les personnages les plus mauvais mourir, mais il dit surtout « dans le théâtre du monde » il dit donc que le monde est un théatre que tout le monde jouent un rôle, que tout le monde a surtout prit cette habitude.

Ou encore dans la remarque 64 dans le chapitre Des biens et de fortune La Bruyère dit « Jeune, on conserve pour sa vieillesse ; vieux, on épargne pour la mort.L’héritier prodigue paye de superbes funérailles, et dévore le reste » il critique les habitudes des héritiers qui, dès qu’ils reçoivent leur héritage vont juste contribuer à donner beaucoup d’argent pour les funérailles puis vont dépenser les argents en un laps de temps réduit.

Et aussi, dans la remarque 10 « Un projet assez vain serait de vouloir tourner un homme fort sot et fort riche en ridicule ;les rieurs sont de son côtés » La Bruyère dit qu’il serait débile de ridiculiser un homme à la fois stupide et riche car les personnes se mettraient de son côté et rireraient avec lui donc il dit que l’effort de dénigrer une personnes ne sert à rien. Puis pour finir nous allons aborder la critique de homme, par exemple dans la remarque 37 du chapitre Des Biens et de fortune La Bruyère dit « a force de faire de nouveaux contrats, ou de sentir son argent grossir dans ses coffres, on se croit enfin une bonne tête, presque capable de gouverner » c’est à dire qu’il critique la façon dont le succès financier monte à la tête des personnes ce qui les poussent à croire qu’elles sont capables de choses alors que non.

Ou alors dans la remarque 7 du chapitre de bien et fortune La Bruyère dit « Si le financier manque son coup, les courtisans disent de lui : » c’est un bourgeois, un homme de rien, un malotru » ; s’il réussit, ils lui demandent sa fille » c’est à dire que les courtisans jugent en fonction de leur richesse et de leur statut social, ils retourneront leur veste s’ils voient que le financer fera quelque chose de bien.

Et pour la dernière remarque 61 du chapitre Des biens et de fortune (IV) « Épouser une veuve, en bon français, signifie faire sa fortune ; il n’opère pas toujours ce qu’il signifie.

» cette remarque fait l’objet d’une observation sur le faits que les opportunités ne garantissent pas toujours le succès prévu. II Objectivité des idées Pour poursuivre cette dissertation, nous allons aborder la clarté dans ses réflexions puis la simplicité de ses écrits A LA CLARTE DANS SES RFLEXIONS En effet, dans son livre, en particulier dans ses chapitres on peut apercevoir beaucoup de clarté à travers ses réflexions, il a fait des réflexions qui sont accessible aux lecteurs, il ne fait pas allusion à des métaphore dans les citations que j’ai choisi . Par exemple, dans la remarque 83 du chapitre de la société et de la conversation La Bruyère dit « le sage quelquefois évite le monde, de peur d’être ennuyé » je trouve cette réflexion très sincère et surtout très claire car le sage est finalement au courant de ce qu’il se passe, je pense qu’il trouve ou l’ambiance qu’il y a est néfaste donc il ne veut pas être imprégnés des ces valeurs.

Ou encore dans la remarque 65 du chapitre Des biens de fortune (V) « L’avare dépense plus mort en un seul jour, qu’il ne faisait vivant en dix années ; son héritier plus en dix mois, qu’il n’a su faire lui-même en toute sa vie.

» La Bruyère ne passe pas par plusieurs chemin, il dit qu’une personne « radine » dépense que quand elle est morte comparé à son héritier qui lui dépensera tout l’argent qu’il a hérité en à peine quelques mois car il aura.... »