Devoirs sur : Rien de moi , Arne Lygne

« JODOROWSKY Théâtre Rebecca Devoirs sur : Rien de moi , Arne Lygne Acteurs : Je choisirai pour le rôle de Chloé Réjon Nina Savary, pour le rô le de Manuel Vallade, Farid Bentoumi et pour le rôle de Luce Mouchel Catherie Deneuve (le rôle de Jean-philippe Vidal ne change pas) Costumes : Savary porte des collants à rayures, une jupe-salopette en velours blanc, des bottines rappelant étrangement des patins à glace et un t-shirt à manches longues simplement noir.

Ses vêtements rappellent le fait qu'elle ne s'est pas remise de la mort de sa fille et qu'elle essaye donc (d'une certaine manière) de la garder en vie.

Elle a en revanche les cheveux détachés, une mèche plus en avant un peu « femme fatale » ; un rouge à lèvre rouge criard.

Bentoumi porte un pantmanteau jogging gris, un t-shirt blanc.

Il est mal rasé et se ballade en chaussette.

Cela rappel sont Carpe Diem et la simplicité de la jeunesse. Vidal porte un jean bleu trop grand et taché avec des ourlets laissant entrevoir ses grosses chaussettes de sport, un col roulé noir parsemé de miettes et des baskets asics (style « Décathlon 10€).

Il porte aussi un paire de lunettes aux gros contours noir, trop grandes et ses cheveux sont plaqués en arrière.

On peut il voir alors un homme quelque peut perdu, négligé. Deneuve porte un long menteau en vison, de grosse lunettes de soleil brunes et rectangulaires, de grosses bagues en faux diamants, des cuissardes en velours violet et un grand chapeau.

Quand elle interprète ensuite la mère de Savary, elle retire son manteau et ses lunettes et apparaît avec une longue robe beige, un peu trop grande.

Lorsqu'elle change de personnage pour la troisième fois, elle retire son chapeau et laisse apparaître deux petit macarons sur la tête. Scénographie : Au début de la pièce, dans un espace noir, les deux acteurs principaux sont assis sur des chaises, face à face, au centre de la scène (le spectacle se jouant sur une scène au dimensions de celle du Théâtre du Lucernaire).

À chaque changement de saisons, au lieu d'une projection sur un rideau qui ne fait pas avancer la pièce mais qui fait seulement attendre les spectateurs, il y aurait un geste symbolique sur scène tels que pour l'automne un effritement de feuilles oranges, ou pour le printemps un oiseau.

Dans la deuxième saison, quand nos deux amoureux emménagent réellement ensemble, un canapé rouge (milieu de la scène, juste derrière les chaises), une table (au fond côté jardin) et une vieille et grosse télévision avec posé dessus un vase remplit de fleurs (au fond côté cour) font leur apparition par le dessous de la scène, grâce à des plate-formes.

Les acteurs pendant cette installation poussent les chaises du milieu de la scène.

Chaque parties utilisées du plateau sont éclairées avec un projecteur simple. A la troisième saison, les meubles repartent dans le « ventre » de la scène sur des sons de. »