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Développement structuré : Après avoir rappelé comment la catastrophe du Covid-19 sur l’emploi s’est joué en trois temps, vous présenterez les nouvelles mesures prises et envisagées par le gouvernement pour éviter un scénario noir pour la rentrée.

Publié le 21/02/2021

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Ci-dessous un extrait traitant le sujet : Développement structuré : Après avoir rappelé comment la catastrophe du Covid-19 sur l’emploi s’est joué en trois temps, vous présenterez les nouvelles mesures prises et envisagées par le gouvernement pour éviter un scénario noir pour la rentrée. Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système gratuit d’échange de ressources numériques. Cette aide totalement rédigée en format pdf sera utile aux lycéens ou étudiants ayant un devoir à réaliser ou une leçon à approfondir en Economie.

« RIU Pauline Développement structuré Sujet : Après avoir rappelé comment la catastrophe du Covid-19 sur l’emploi s’est joué en trois temps, vous présenterez les nouvelles mesures prises et envisagées par le gouvernement pour éviter un scénario noir pour la rentrée. La pandémie a eu un impact catastrophique et bien plus grave sur l’emploi que prévu .

Les dernières données publiées montrent que 14 millions de salariés ont été concerné depuis le début de la crise par une demande de chômage partiel, dans 1,06 million d'entreprises.

Face à cette situation de nombreuses mesures ont été prises afin d’éviter un nouveau scénario critique pour l’emploi. Dans ce développement je commencerais par retracer l’impact qu’a eu la pandémie de Covid-19 sur l’emploi pour ensuite aborder les mesures prises et envisagées par l’Etat pour se parer à une nouvelle vague. La crise du Covid-19 sur l’emploi s’est déroulé en trois temps, tout d’abord le premier temps est au mois de mars quand le confinement est annoncé. Dès le premier jour, le 17 mars, les entreprises s’inquiètent pour leur avenir et de savoir si le gouvernement va mettre en place des mesures pour les aider dans cette période qui s’annonce difficile et longue.

Les entreprises se séparent alors de leurs salariés ayant des contrats courts c’est-à-dire les CDI, Intérims et temps partiels… Cela représente 500 000 emplois.

On estime à 815 000 le nombres de travailleurs se retrouvant dans la catégorie A de Pôle Emploi, une grande partie étant des travailleurs précaires.

Dans les semaines qui suivent l’Insee confirment la tendance avec 767 000 personnes qui rejoignent le « halo du chômage », qui correspond à des personnes ni en emploi ni au chômage officiel, au deuxième trimestre. Pendant le confinement la situation se calme grave au dispositif d’activité partielle ou chômage partiel mis rapidement en place par le gouvernement.

Le principe de l’activité partielle est pour les entreprises de garder leurs salariés et lorsqu’elles n’ont pas assez de travail pour eux de les mettre au chômage partiel en leur versant 70% de leur salaire brut sur les heures chômées.

Ainsi l’Etat s’engage à rembourser aux entreprises ces heures.

Ce dispositif a concerné 7.2 millions de salariés dès le mois de mars puis 7.9 millions en mai et encore 4.5 millions en juin.

Cette intervention a coûté très chère aux finances publiques, environ 19.5 milliards d’euros auxquelles on peut ajouter d’autres pertes indirectes.

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