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DAVID COPPERFIELD. Charles Dickens (résumé & analyse)

Publié le 18/05/2020

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« DAVID COPPERFIELD.

Roman de l'Anglais Charles Dickens (1812-1870), publié en 1849-1850.

Dickens le préférait à tous ses autres livres, sans doute parce que les péripéties de l'odyssée du protagoniste qu'il dépeint, sont à base autobiographique.

Le récit est raconté à la pre­ mière personne.

Les premiers chapitres, qui sont une des meilleures choses du romancier, repré­ sentent David en compagnie de sa jeune mère (]n'il aclore ; c'est une créature douce, mais faible t�t vaniteuse ; auprès d'eux, il y a l'étrange Peggotty.

dont les manières sont brusques, mais dont h: cœur est plein d'une tendre affection.

\ 'ette vie idyllique est interrompue par le mariage de la jeune veuve avec Mr.

Murdstone, un homme cruel qui se dissimule se-us le masque de la fermeté virile ; celui-ci, en0ouragé par sa digne sœur, finit par causer la fin prématurée de et pour .

appropriation indue, David épouse Agnès, Mr..

Mwawber règle finalement ses dettes et obtient une place de magistrat colonial qui lui pen1�e � ? e.

I?ener une vie honorable.

Ce roman, c� ns1dere .a Juste titre comme le chef-d'œuvre de · J? I�kens, Illustre parfaitement ses qualités (viva­ CI�e des �ers .onnages , et des esquisses) et ses �efauts (� ntngue melodramatique, sentimenta­ hs,me), qm se fondent en un admirable tableau tres c.omplex �.

qu'anime la chaleur dP.s souvenir � autolnographiques.

T.F.

Éditions sEp E 1949.

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sa jeune et naïve épouse.

Les impressions de l'enfant qui ne parvient pas à s'adapter à cette nouvelle ambiance, et qui se replie sur lui-même, muet de terreur et assoiffé de tendresse, sont magistralement rendues par Dickens.

Le beau­ père envoie l'enfant révolté à l'école, où il a à subir les mauvais traitements du tyrannique maître Creakle.

Il y conçoit une admiration sans borne pour un de ses compagnons , Steerforth, un jeune homme séduisant qui devra plus tard le décevoir.

et se lie d'amitié avec le bon Traddles l'optimiste, dont le passe-temp s est de dessine ; des squelettes.

David est ensuite condamné par son beau-père à faire des besognes serviles dans Je magasin de Murdstone & Grinby à Londres · il vit alors dans une profonde détresse matériell� et morale reflet de la vie que mena Dickens jeune, à la fabrique de vernissage de chaussures .' il est heureusement réconforté par l'amitié d� Mr .

Micawber et de sa famille.

Mr.

Micawber eseL une des immortelles créations de Dickens : commis voyageur, taillé à coups de serpe, qui dramatise toujours de façon pittoresque les circonstances de sa propre vie.

David s'enfuit de Londres et se rend à Douvres à pied ; il finit par arriver exténué à la villa de la tante Betsy Trotwood, une excentrique qui s'était désintéressée de lui à sa naissance parce qu'elle aurait voulu qu'il soit une fille.

Auprès de la tante vit un doux maniaque, le pauvre Mr.

Dick, qui n'arrive plus à mener à bien un mémoire sur ses affaires parée qu'il est obsédé par le souvenir de Charles 1er.

David poursuit son éducation à Canterbu:Ly, dans la maison de l'avocat de Miss Trotwood, Mr.

Wick­ field, dont la douce et intelligente fille, Agnès, exercera plus tard une grande influence sur sa vie.

Puis il va faire son apprenti ssage auprès de Mr.

Spenlow, de l'étude Spenlow et Jorkins (équipe qui devait devenir proverbiale à cause du système de SpenJow qui consistait à attribuer, à son associé et homme de paille.

ses actes les plus impi­ toyables).

David retrouve Steerforth et le présente :\ la famllle de son ancienne nourrice Clara l.,eggotty.

a série de malheurs, causée à cette 11Hmble tamille de pêcheurs, par ce jeune homme f;ans moralité, est un roman dans le roman ; il abonde en incidents dramatiques et spectaculaires jusqu'au naufrage dans lequel le séducteur, Steerforth, périt avec le fiancé de la petite Émilie (Little Emily) qu'il a séduite, alors que ce dernier risque sa vie pour le sauver.

David, qui ne voit pas l'affection qu'Agnès Wickfield lui porte, épouse Dora Spenlow, une gracieuse petite sotte, et acquiert peu à peu la gloire littéraire.

L'idylle de David et de Dora est décrite avec poésie, mais non sans certains traits d'humour délicat.

Au bout de quelques années.

Dora meurt, et David, d'abord inconsolable, découvre bientôt quelle erreur il a faite en négligeant Agnès.

Le père de celle-ci est tombé entre les mains d'une cana ille hypocrite, son factotum Uriah Heep homme au visage cadavérique et aux mains gluantes, qui administre son patrimoine et aspire à la main d'Agnès.

Les méfaits de ce mélo­ dramat�que et sinistre individu sont démasqués par Micawber devenu son clerc et par Traddles qui réapparaît comme avocat.

Tout se termine pour le mieux : Heep eseLcondamné pour faux. »

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