Databac

Dans l'abîme du temps de Howard Philips Lovecraft (Résumé)

Publié le 09/12/2021

Extrait du document

Ci-dessous un extrait traitant le sujet : Dans l'abîme du temps de Howard Philips Lovecraft (Résumé). Ce document contient 0 mots. Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système d’échange gratuit de ressources numériques ou achetez-le pour la modique somme d’un euro symbolique. Cette aide totalement rédigée en format pdf sera utile aux lycéens ou étudiants ayant un devoir à réaliser ou une leçon à approfondir en : Littérature
Lorsque débute le récit de Nathaniel Wingate Peaslee, habitant d'Arkham et professeur de sciences politiques à l'université de Miskatonic, vingt-deux ans se sont écoulés depuis le début de son aventure. Le jeudi 14 mai 1908, alors qu'il donnait son cours devant un auditoire comble, il sombra soudainement dans un coma duquel il ne se réveilla que treize heures plus tard. Selon les dires de ses proches et la minutieuse enquête qu'il fit par la suite, il se serait réveillé en présentant tous les signes d'un changement profond. La langue qu'il utilisait était ponctuée d'archaïsmes, ses expressions, son visage même avait changé à un point tel que son épouse prétendit qu'un autre s'était emparé de son corps. Durant cinq années, il s'intéressa à de nombreux domaines totalement étrangers à l'économie politique : sciences occultes, histoire... Il consultait inlassablement les bibliothèques à la recherche de livres rares et maudits tel Le Necronomicon de l'Arabe dément Abdul Al-Hazred. Et, chose plus curieuse encore, il effectuait de fréquents voyages à la recherche de sectes étranges et suspectes.

« Dans l'abîme du temps de Howard Philips Lovecraft (Résumé) Résumé Lorsque débute le récit de Nathaniel Wingate Peaslee, habitant d'Arkham et professeur de sciences politiques àl'université de Miskatonic, vingt-deux ans se sont écoulés depuis le début de son aventure.

Le jeudi 14 mai 1908,alors qu'il donnait son cours devant un auditoire comble, il sombra soudainement dans un coma duquel il ne seréveilla que treize heures plus tard.

Selon les dires de ses proches et la minutieuse enquête qu'il fit par la suite, il seserait réveillé en présentant tous les signes d'un changement profond.

La langue qu'il utilisait était ponctuéed'archaïsmes, ses expressions, son visage même avait changé à un point tel que son épouse prétendit qu'un autres'était emparé de son corps.

Durant cinq années, il s'intéressa à de nombreux domaines totalement étrangers àl'économie politique : sciences occultes, histoire...

Il consultait inlassablement les bibliothèques à la recherche delivres rares et maudits tel Le Necronomicon de l'Arabe dément Abdul Al-Hazred.

Et, chose plus curieuse encore, il effectuait de fréquents voyages à la recherche de sectes étranges et suspectes. Au cours de l'été 1913, il commença à montrer des signes d'ennui et prétendit qu'on pouvait s'attendre à le voirredevenir tel qu'il était en 1908.

Le 27 septembre 1913, on le trouva évanoui devant sa table de travail.

Lorsque peuà peu il revint à lui, il déclara ne pas se souvenir des cinq années qui venaient de s'écouler.

Des changements àpeine perceptibles se manifestèrent dans sa personnalité.

Sa perception du temps écoulé, les cauchemars qu'ilfaisait à présent de plus en plus régulièrement l'entraînèrent à enquêter sérieusement sur ce qu'il avait bien pu fairedurant ces années. Un soir, alors qu'il consultait les livres rares qu'on lui avait vus lire, il découvrit des annotations de sa main écritesdans des langues qu'il ne connaissait pas.

Ces ouvrages racontaient l'histoire du monde avant l'homme et parlaientde cités cyclopéennes habitées par ceux de la Grand'Race qui avaient la propriété de voyager dans le temps enutilisant le corps des autres.

Ils procédaient ainsi à un échange de personnalité au .

cours duquel l'esprit de leurhôte involontaire occupait le corps de quelque Grand Ancien pendant qu'il visitait son époque.Toute cette mythologie fascinait Nathaniel parce qu'elle offrait énormément de points de comparaison avec lesrêves qui le hantaient à présent toutes les nuits.

Mais il ne leur accordait d'autre explication que d'être le souvenirdes lectures qu'il fit durant les cinq années de son amnésie.

Fasciné par les images de ses rêves, il s'initia à lapsychologie et notait systématiquement leur contenu.

Il se voyait, sous la forme d'un gigantesque cône surmontéde tentacules, arpenter les couloirs de vastes bibliothèques, survoler les cités cyclopéennes faites de grès noir etcouvertes d'hiéroglyphes curvilignes.

Les histoires de transfert de pensées se faisaient plus précises et ses rêvesétaient à présent peuplés d'autres êtres pareils à lui, exilés dans un corps qu'ils ne connaissaient pas, dans unebibliothèque où ils avaient pour tâche de rédiger l'histoire de leur époque.

Il apprit ainsi que ceux de la Grand'Races'étaient exilés de leur planète d'origine et avaient envahi la Terre avant même que l'homme n'y naquît.

Ils avaientdû combattre des créatures cyclopéennes — dont aucune description ne pouvait rendre l'aspect repoussant — qu'ilsavaient contraintes à vivre sous terre enfermées derrière d'immenses trappes bardées de fer dont, hélas, elless'échapperaient un jour lointain.

Tels étaient ses rêves qu'il publia afin d'en permettre l'analyse et de faireprogresser la psychologie.Hélas, le 10 juillet 1934, une lettre lui parvint d'Australie, porteuse d'une nouvelle incroyable : on aurait découvertdes ruines cyclopéennes qui ressembleraient à celles de ses rêves.

Avec l'appui de son fils et de l'université deMiskatonic, il organisa une expédition archéologique dans ces régions désertiques et dut bien se rendre à l'évidence: ce site lui était étrangement familier.

Une nuit, ne pouvant dormir, il sepromenait sur le chantier lorsqu'il crut reconnaître une ouverture qui, selon ses rêves, devait mener à la vastebibliothèque où il s'était rêvé prisonnier.

Il s'y lança sans hésitation, parcourut d'immenses couloirs, franchit desportes à peine ouvertes et contourna avec effroi les trappes, qui retenaient les créatures indicibles, à présentouvertes.

Il parvint enfin à la bibliothèque centrale où, parmi les manuscrits, il retrouva sans doute possible celuiqu'il fut contraint d'écrire pendant ses cinq années d'amnésie.

Mais il fit une autre découverte, plus effroyableencore : non seulement les trappes étaient ouvertes, mais la poussière du sol trahissait de hideuses empreintes.

Ils'enfuit en emportant la seule preuve de son aventure incroyable : son manuscrit.

Il parcourut à nouveau lescouloirs gigantesques, se croyant poursuivi par quelque créature.

Il abandonna le manuscrit...De retour au campement, il fit tout pour persuader les autres chercheurs d'abandonner leurs fouilles et, devant leurrefus, se décida à regagner la Nouvelle-Angleterre.

C'est sur le bateau qu'il écrivit ce récit en espérant quequelqu'un, plus tard, serait à même de comprendre... Pistes de lecture Exilé parmi les hommes «La plus vieille, la plus forte émotion ressentie par l'être humain, c'est la peur.

Et la forme la plus puissantedécoulant de cette peur, c'est la peur de l'inconnu.

» Lovecraft, l'homme de Providence, justifiait ainsi, quinze ansaprès sa première nouvelle (The Alchemist, 1908), toute sa production fantastique.Inventeur d'une nouvelle mythologie de l'innommable, Howard Philips Lovecraft est né en 1890 à Providence, RhodeIsland, dans la demeure de son grand-père maternel.

Reclus volontaire, cet homme d'une autre époque chercheratoute sa vie à rejoindre ses rêves d'adolescence.Côté écrits, la bibliothèque de son grand-père, abondamment fournie en ouvrages d'astronomie et de géographie, et. »

↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓

Liens utiles