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COURBET, Gustave(1819-1877)PeintreInstallé en 1839 à Paris, Gustave Courbet abandonne vite les études dedroit pour se consacrer à la peinture.

Publié le 23/05/2020

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« COURBET, Gustave (1819-1877) Peintre Installé en 1839 à Paris, Gustave Courbet abandonne vite les études de droit pour se consacrer à la peinture.

Sa formation se fait plus au Louvre que dans les ateliers traditionnels.

L’admiration qu’il a pour les peintres Géricault et Delacroix est encore présente dans ses premières œ uvres. Après la révolution de 1848 , ses rencontres avec le philosophe Proudhon , le critique d’art Champfleury et le poète Charles Baudelaire l’incitent à rendre compte de la vie contemporaine.

Il est accusé par certains d’être un peintre “ socialiste ”, mais avant tout Courbet prétend être “ réaliste ”. Sa carrière au cours du Second Empire est jalonnée de scandales. Courbet les utilise pour accroître sa gloire.

Lors de l’Exposition universelle de 1855, il va jusqu’à faire construire un pavillon particulier avenue Montaigne, où il présente une quarantaine de tableaux.

Lorsqu’en 1870 la Légion d’honneur est donnée à Courbet, celui-ci la refuse avec éclat.

Il déclare alors à ses parents “ De l’avis de tout le monde je suis le premier homme de France.

” Nommé président de la commission des Beaux-Arts, pendant la Commune il est accusé d’avoir ordonné le renversement de la colonne Vendôme, symbole du pouvoir impérial ; il est condamné à six mois d’emprisonnement et à payer sa restauration. Ruiné, c’est en Suisse que le peintre achève sa vie.

Ses œ uvres essentielles que sont L’Après-dîner à Ornans ,Un enterrement à Ornans ou Les Casseurs de pierre ont provoqué, comme Les Demoiselles des bords de la Seine, Les Cribleuses de blé et plus encore L’Atelier du peintre , des scandales, et sont devenues des références pour tous les jeunes peintres de la génération suivante.. »

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