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Costa Rica: 1988-1989

Publié le 14/09/2020

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« file:///F/dissertations_pdf/Nouveau%20dossier/450810.txt[14/09/2020 16:45:04] Costa Rica 1988-1989 Oscar Arias, élu en 1986, prix Nobel de la paix en 1987 pour le "plan " de pacification des conflits centraméricains qui porte son nom, semble être prisonnier des prob lèmes internes.

Son pays est le dernier à appliquer certaines des dispositions de ce plan.

Ainsi, l'a ccord signé le 7 août 1987 par les cinq chefs d'État centraméricains (accord dit "Esquipulas II") pré voyait la création en 1989, d'un parlement centraméricain.

En avril 1989, alors que les quatre autres États s ignataires avaient ratifié l'accord, le Parlement costaricien décidait de reporter la discussion de cette que stion à sa session d'automne...

Hostilité des États-Unis, isolationisme traditionnel des Costa-Ric iens, année préélectorale...

tous les éléments sont réunis pour que ce parlement ne voie pas le jour. Cette perte de pouvoir d'O.

Arias trouve son origine dans l'accentuation des problèmes économiques et dans les scandales (corruption, trafic de drogue) auxquels son parti s 'est trouvé mêlé.

La relance du plan de paix, lors de la réunion des cinq chefs d'État au Salvador en f évrier 1989, n'a pas pu redorer le blason d'un président qui, après avoir été un héros national, te rmine son mandat dans la grisaille.

Il est vrai que la crise économique s'est aggravée.

Le poids de la dette (4 800 millions de dollars fin 1988), a rendu inévitable une intervention des organismes internatio naux.

Le 15 mars 1989, un nouveau "programme d'ajustement structurel" était signé avec la Banque mon diale (le premier l'avait été en 1985), qui prévoyait l'octroi de 200 millions de dollars pour financ er le développement des produits non traditionnels, ainsi que toute une série de mesures de modernisation économique.

Le 30 mars, le FMI accordait un crédit stand by de 56 millions de dollars.

En juin, il s emblait que le Costa Rica serait le troisième pays à bénéficier du "plan Brady" (rachat de 25 à 30% des créances), après les Philippines et le Mexique.

L'existence de réserves de pétrole dans le sous-sol costa -ricien (au moins 700 millions de barils, probablement beaucoup plus) annoncée en mars 1989 pourrait, si ces c hiffres étaient confirmés, apporter une embellie à une économie qui reste l'une des plus saines de la zone.. »

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