Correspondances de Baudelaire (étude linéaire)

« Correspondances Le sonnet décrit les correspondances entre les éléments naturels les expériences sensibles et spirituelles.

Ce poème écrit en alexandrins a souvent été pris pour le manifeste du mouvement symboliste.

Pour les symbolistes, chaque chose serait un symbole à déchiffrer vers un monde plus spirituel.

De même l’écriture poétique serait remplie de symboles qui suggérerait un monde immatériel.

Les thèmes sont le rêve et le mystère. 1 La Nature est un temple où de vivants piliers 2 Laissent parfois sortir de confuses paroles Procédé Métaphore Citation v.1 v.2 3 L'homme y passe à travers des forêts de symboles 4 Qui l'observent avec des regards familiers. Personnification v.3/4 5 Comme de longs échos qui de loin se confondent Comparaison auditive v.5 Commentaire Baudelaire décrit la réalité décomposée en symboles c’est la double métaphore du v.1 Beaudelaire compare la Nature à un lieu Sacré, Immuable. Ce caractère est renforcé par le verbe d’état « est ». Ils sont capables de communiquer avec lui Ça indique qu’il y a un lien entre l’homme et la nature Beaudelaire oppose « passe » à « est » .

Ces verbes de nature opposées soulignent le contraste entre le côté éphémère de l’homme et immuable de la nature. Il emploie le champs lexical de la confusion. La Nature a un caractère hermétique.

Son sens ne peut être 5 Comme de longs échos qui de loin se confondent 6 Dans une ténébreuse et profonde unité, 7 Vaste comme la nuit et comme la clarté, 8 Les parfums, les couleurs et les sons se répondent. 6 Dans une ténébreuse et profonde unité, 7 Vaste comme la nuit et comme la clarté, 8 Les parfums, les couleurs et les sons se répondent. Assonance en on 2eme quatrain Double comparaison antithétique v.6/7 v.8 9 II est des parfums frais comme des chairs d'enfants, 10 Doux comme les hautbois, verts comme les prairies, 11 - Et d'autres, corrompus, riches et triomphants, 2eme quatrain 9 II est des v.9 saisi facilement. Pour mimer musicalement les échos.

Des échos mystérieux que le lecteur entend mais ne comprend pas. Permet de décrire l’unité qui relie les différents éléments terrestres entre eux Communication entre les différents sens. Dans le dernier vers, le poète résume l’idée des correspondance s.

Ce vers est.... »