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Corpus de texte

Publié le 22/05/2020

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« Vokshi Léondrit Français 1_S1 Questions sur corpus Victor Hugo dans « Les Misérables », Stendhal dans « La chartreuse de Parme », Alfred de Vigny dans « Cinq-Mars » et Clément-Auguste Andrieux avec son tableau « La Bataille de Waterloo » ont tous quatre marqué le XIXème siècle, lui même marqué par l'arrivé de Napoléon Bonaparte mettant fin à la période révolutionnaire, mais aussi et notamment l'arrivé du mouvement artistique et littéraire, le Réalisme.

Mouvement important pour la littérature française qui révolutionne la belle-lettre française et qui met en scène la réalité des faits.

Les artistes décident de mettre en scène la vie quotidienne du Pays.

De plus ils osent, en plus d'accorder le rôle principal à la classe des ouvriers, critiquer l'Etat en personne.

Le mélange entre Histoire et roman littéraire, c'est ce à quoi se sont prêtés ces quatre auteurs.

Est-ce possible de mêler faits réels et faits fictifs ? Les trois œuvres adoptent chacune un point de vue différent.

« La Chartreuse de Parme » adopte un point de vue interne.

Certains outils nous permettent de le démontrer tels que les verbes de perception l.2 « vit », l.6 « entendit », l.

8 « il les regarda » ainsi que l.18 « il lui semblait ».

Tout au long du texte le lecteur est acteur de la scène, il regarde la scène à travers Fabrice.

On vit la scène à travers le personnage principal.

De part des adjectifs évaluatifs, tels que l.9 « horrible », l.22 « grosse », ce texte devient subjectif.

La répétition de « il lui semblait » (l.9, l.16) insiste sur le faite que le narrateur doute. Le texte de Victor Hugo quant à lui est omniscient.

Le lecteur a une vision globale de la bataille comme nous pouvons le voir au début du texte « ils étaient trois mille cinq cents » (l.1).

L’identité de chaque personnage ainsi que leurs actions respectives sont dévoilées, comme l.

16 « Ney tira son épée et prit la tête », l.34 « Murat y manquait », l.38 « la division Wathier avait la droite, la division Delors avait la gauche ».

Tout comme dans le texte de Stendhal, Victor Hugo laisse des traces de subjectivité tel que l.18 « formidable », l.39 « terrible ».

De plus, les indices spatio-temporels sont détaillés, l.22 « la colline de la Belle-Alliance », l.26 « le plateau de Mont Saint-Jean », l.27 « le matin (…) neuf heure » (l,6).

Nous avons réellement l'impression que le personnage est presque sous un statut de « Dieu ».

Le tableau d'Andrieux, lui, adopte un point de vue externe.

Le combat entre Français et Anglais, on le constate notamment grâce aux drapeaux levés vers le ciel, semble visible depuis un certain échelon.

Nous pourrions penser qu'Andrieux nous a plongé dans le personnage d'un colonel ou bien même de Napoléon Bonaparte en personne.

Ce tableau se complète très bien avec les deux précédents textes qui dénoncés l'horreur de la guerre.

Ici, nous avons une illustration de nos deux écrits, il nous immerge encore plus dans cette absurdité. Le point de vue interne présenté par Stendhal nous donne une connaissance vis-à-vis du personnage concerné.

Nous permet de nous immerger dans le texte et de nous faire comprendre les différents sentiments du personnage.

Prenons pour exemple le combat Harry Potter contre Voldemort, notamment à leur 4ème combat.

Nous ressentons la peur d'Harry qui est à son apogée, effectivement il rencontre son ennemi en personne et n'est pas encore entraîné pour l'affronter.

C'est donc avec ce point de vue que nous pouvons nous plonger complètement dans le récit.

Cependant,. »

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