corpus 3 txt
Publié le 23/05/2020
Extrait du document
«
Français : CORPUS+SUJET D’INVENTION
Question corpus :
Nous allons étudier 3 textes au sein de ce corpus, Thérèse Raquin de Emile Zola
écrit en 1867 qui nous décris la scène lorsque Thérèse Raquin et son amant Laurent
ont prévu la mort de Camille (texte A), La condition humaine de André Malraux écrit
en 1933 qui nous parle de Tchen un jeune chinois engagé dans l’action terroriste qui
doit assassiner un trafiquant ( texte B), et enfin L’étranger de Albert Camus écrit en
1942 qui lui nous décris que Meursault le narrateur a tué un arabe (texte C).
Ces textes présentent un thème commun, celui de la description de la nature, que
nous étudierons en interrogeant les différents genres et registres présents sur ces
extraits.
Tout d’abord les textes Thérèse Raquin , et L’Etranger nous décrivent une nature
différente du textes la condition humaine c’est-à-dire une nature réel dans le texte A :
« grand massifs rougeâtres des îles » l.2 , « l’eau et le ciel » l.4, « crépuscules
d’automne » l.5, « l’air frissonnant » l.6 « les arbres vieillis » l.6 , « la campagne » l.7
et dans le texte C « vague » l.6, « même soleil » l.6, « même sable » l.7, « une plage
vibrante de soleil »l.11/12.
Alors que dans le texte B tout est différent ce n’est plus la même nature « la lumière
venais du building voisin » l.6 , « une grand rectangle d’électricité pale » l.6 , « quatre
ou cinq klaxons » l.8, « embarras de voitures » l.10 cette nature est différentes des
autres textes car c’est une nature plus urbanisé, avec plus de vie.
Mais le fait qu’il y
est plusieurs descriptions de nature cela nous montre que la description est adapté à
la situation.
Dans le texte A la nature est plutôt douce au début, « deux larges bandes » l.3 « les
rayons palissent l’air frissonnant » l.6 mais toujours avec un air mystérieux « d’un
brun sombre taché de gris » l.2/3, au fur et a mesure la nature nous fait rentré dans
une atmosphère déplaisante, elle nous prépare à la mort « sens la mort venir avec
les premiers vents froids » l.7 « petit bras sombre et étroit » l.22 , «la rivière était
libre »l.24 le fait que la rivière sois libre cela nous montre que le meurtre peut
commencer car il n’y a pas de suspect pour voir le meurtre.
On peut dire que dans le
texte A la nature accompagne la compréhension au meurtre pour le lecteurs.
Dans le texte B la nature agis en tant que distraction vis-à-vis du tueur c’est-à-dire
que le tueur se préoccupe beaucoup de ce qui l’entourent « il y avait encore des
embarras de voiture, là-bas, dans le monde des hommes… ».
Le tueur hésite et a
peur de se faire surprendre et se sent surveiller « quatre ou cinq klaxons grincèrent à
la fois.
Découvert ? ».
Le tueur angoisse quand les bruits se dissipent « la vague de
vacarme retomba »l.10 la vague fait illusion a la nature.
L’utilisation de se champs
lexicale nous fait rentré dans l’angoisse du tueur dans son environnement typique.
Quand au texte C la nature nous montre une sorte de tension dès le début du texte
« l’air enflammé » l.5 , et nous montre l’endurance de ce duel sous le soleil « j’ai.
»
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