Conquêtes scientifiques et représentations du monde

« Question de réflexion : Comment les conquêtes scientifiques remettent-elles en cause toute forme de certitude quant à nos représentations du monde ? Si pendant des siècles, les hommes étaient persuadés de leurs connaissances, certains d’entre eux ont su prouver le contraire.

En créant des règles, des théorèmes ou encore des doctrines.

L’être humain vivait dans l’inconnu jusqu’à ce que certains réalisent des calculs et prouvent grâce à des démonstrations que la perception du monde était erronée.

Nous avons à notre disposition un extrait de la IIe partie, du chapitre 18 de l’œuvre de Freud écrite en 1916 et s’intitulant Introduction à la psychanalyse .

Grâce à cet extrait nous tenterons de répondre à la problématique suivante : nos représentations du monde ont nettement évolué à l’aide des avancées techniques scientifiques.

Dans un premier temps, nous parlerons des croyances que les hommes affirmaient autrefois, puis, pour finir avec les conquêtes scientifiques qui ont permis de protester ces certitudes. Pour commencer, durant de nombreux siècles et ce encore parfois de nos jours, les hommes possèdent certaines idées que d’autres démontrent comme fausses.

Par exemple, les platistes, ces personnes sont persuadés que la Terre est plate, ils sont convaincus que la Terre est en forme de pièce de monnaie.

L’Homme pensait également tout savoir.

Il était dit que les hommes étaient à la tête de la connaissance.

Or, certains d’entre eux ne partagaient pas les mêmes conceptions.

Pourtant, malgré les contradicitons, à la Renaissance particulièrement, on préférait maintenir des mensonges que de dire la vérité car la vérité était source de trop plein de liberté.

Aussi, à cette époque, Dieu était nettement présent au sein de leurs croyances, le savoir venait du ciel.

Et quiconque tentait de démentir le contraire se voyait faire preuve de trahison.

De plus, les hommes était persuadés que la Terre était au centre de l’Univers, qu’il n’y avait pas d’autres planètes autour et que la Terre était si grande dans l’espace « la terre, loin d’être le centre de l’univers ».

On comprend avec le texte de Freud que les représentations du monde n’étaient auparavant pas assez contredites.

Il parle également d’un sentiment de supériorité sur l’Univers « égoïsme naïf ».

Secondement, les avancées techniques permettent l’évolution de la pensée.

Effectivement à l’aide des calculs de Copernic, par exemple, les hommes ont pu savoir et apprendre que la Terre n’est pas le centre de l’Univers et qu’il y a des planètes autour de celle-ci « ne forme qu’une parcelle insignifiante du système cosmique » .

Grâce aux grandes recherches de Darwin, il a appris que l'homme est un animal comme les autres « en établissant sa descendance du règne animal et en montrant l’indestructibilité de sa nature animale ».

Finalement un nouveau monde se dessine peu à peu dû à ces découvertes et ces conquêtes.

Par exemple, Christophe Colomb a découvert un nouveau continent l e 12 octobre 1492.

Ce qui a prouvé à l’être humain que vivre dans l’ insouciance et l’inconnu n’est que péjoratif et amène à inventer des sortes de mythes.

Nous pouvons aussi parler de la perspective de Pictura en 1435, Alberti théorise sa perceptive sur la peinture.

De nouvelles avancées sont donc mises en place pour pouvoir accéder plus facilement et intelligemment à la culture, aux représentations prouvées de notre monde. Pour conclure, grâce aux nombreuses découvertes et aux démonstrations véridiques de théorèmes ou idéaux, l’homme se décentre du monde.

De nouvelles perceptions se créer et la vision du monde évolue.

Les certitudes sont alors nettement remises en cause par rapport à la science en elle-même.

Mais, était-il si important de démontrer ces certitudes ?. »