Concurrence
Publié le 16/05/2020
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1 La
concurrence
traduit do competition qui
caracterise les rapports entre agents economiques dans
le cadre dune economic de marchi.
Elle constitue le
fondement de Ia Mimi.
liberal..
Une entreprise est dite
competitive lorsqu'elle est en mesure de soutenir Ia
concurrence des sutras sur le marche.
II faut que sea
prix soient assez bas pour deciencher Is maximum de
decisions d'achat.
En se multipliant, celles-ci luiper-
mettront de reallser en fin de compte (grace aux econo-
mies d'echelle) un benefice suffisant.
La concurrence
eat censee empacher les producteurs et les commer- cants d'accrottre lours profits par de fortes merges.
2 La concurrence parfaits, regime hypothetique decrit
par les economistes classiques, results dune conver-
gence de plusieurs conditions.
L'atomicite du marche
suppose que les agents en presence (vendeurs et ache-
tours) soient nombreux et que leurs forces ne fassent
pas apparaitre d'inegalites trop Importantes, de maniere
que personne ne puisse Imposer see objectifs.
La nut-
dile implique que les offreurs et les demandeurs soient
parfaltement informes (transparence du marche).
L'homo-
geneite et la divisibilite des prodults proposes devant
permettre de comparer et de substituer dans le temps
et.
dans l'espace les biens presentee a Ia yenta.
3 En realite, les situations de marche constatees reib-
vent le plus souvent de Ia concurrence imparialte, oa
codeine agents peuvent a certains moments exercer de
fortes pressions dans le processus d'embottement de
l'offre et de Ia demande.
Les differents a plis a de reven-
tall (dont les deux extremites sont, d'une part, la concur-
rence parfaite, d'autre part, le monopole) correspondent
a des conditions de concurrence imparfaite qui,
de
roligopole (peu de vendeurs, multitude d'acheteurs) a
roligopsone (grand nombre d'offreure, quelques deman-
Concurrence
1 La concurrence traduit l'état de compétition qui
caractérise les rapports entre agents économiques dans
le cadre d'une économie de marché.
Elle constitue le
fondement de la théorie libérale.
Une entreprise est dite compétitive lorsqu'elle est en mesure de soutenir la concurrence des autres sur le marché.
Il faut que ses
prix soient assez bas pour déclencher le maximum de
décisions d'achat.
En se multipliant, celles-ci lui per mettront de réaliser en fin de compte (grâce aux écono mies d'échelle) un bénéfice suffisant La concurrence est censée empêcher les producteurs et les commer
çants d'accroître leurs profits par de fortes marges.
2 La concurrence parfaite, régime hypothétique décrit
par les économistes classiques, résulte d'une conver gence de plusieurs conditions.
L'atomicité du marché suppose que les agents en présence (vendeurs et ache teurs) soient nombreux et que leurs forces ne fassent pas apparaître d'inégalités trop importantes, de manière
que personne ne puisse imposer ses objectifs.
La flui
dité implique que les offreurs et les demandeurs soient
parfaitement informés (transparence du marché).
L'homo
généité et la divisibilité des produits proposés devant
permettre de comparer et de substituer dans le temps
et.
dans l'espace les biens présentés à la vente.
3 En réalité, les situations de marché constatées relè
vent le plus souvent de la concurrence imparfaite, où
certains agents peuvent à certains moments exercer de
fortes pressions dans le processus d'emboîtement de l'offre et de la demande.
Les différents « plis » de l'éven tail (dont les deux extrémités sont, d'une part, la concur rence parfaite, d'autre part, le monopole) correspondent
à des conditions de concurrence imparfaite qui, de
l'oligopole (peu de vendeurs, multitude d'acheteurs) à
l'ollgopsone (grand nombre d'offreurs, quelques deman-
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