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Compte rendue de lecture ) La mise en scène de la vie quotidienne: chapitre 2,Tome 2:le territoire du moi

Publié le 18/05/2020

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Ci-dessous un extrait traitant le sujet : Compte rendue de lecture ) La mise en scène de la vie quotidienne: chapitre 2,Tome 2:le territoire du moi Ce document contient 1174 mots soit 3 pages. Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système gratuit d’échange de ressources numériques. Cette aide totalement rédigée en format pdf sera utile aux lycéens ou étudiants ayant un devoir à réaliser ou une leçon à approfondir en Fiche de lecture.

« Compte rendue de lecture ) La mise en scène de la vie quotidienne: chapitre 2,Tome 2:le territoire du moi la mise en scène de la vie quotidienne est un ouvrage réalise par le sociologue canadien Erving Goffman dans lequel l'auteur analyse sont sujet de prédilection, qui est autre que les interaction entre individus,tous ceci par le biais d’enquête participative . Ainsi c'est après avoir étudient de nombreux cas particulier, tel que les île de l'Est de l'écosse (pour sa thèse de doctorat en 1953) ou ,encore même le milieux psychiatrique qu'il dépeint dans sont ouvrage Asylium (qui influencera fortement les thèse anti -psychiatrique) ;E,Goffman réalise en 1959 cette vaste étude des comportement de la vie quotidienne;ouvrage qu'il décrit lui -même comme « un regroupement d'articles traitent d'un unique champ d’activités et ont été écrit pour être publier ensemble ».

Ceux -ci ce divise en deux tomes intitulé respectivement ,« la présentation du soi »(tome 1),et « les relation en public »(tome2).

Et c'est sur le deuxième tome que se portera ce compte rendu;plus précisément sur le chapitre un de celui-ci ,intitulé « les individus comme unités » . dans ce chapitre,l'auteur analyse ici ,les comportement de l’individu dans les lieux publique ,ou plus précisément les interaction parfois inconsciente lors des déplacement,que ce soit dans la rue comme dans les transport en commun(bus ,tramways ,métro...) .

Dans un premier temps l'auteur , distingue deux type d'interaction;a savoir les individus en temps qu’ « unités véhiculaire » ,puis l’individu en temps qu' « unité de participation ». Tout d'abord pour ce qui est de ce que l'auteur qualifie d'unité véhiculaire ,n'est autre que le corps de l’individu qu'il prend comme une enveloppe remplissent sa seul fonction de déplacement et ,ses différent espaces vitaux ,qui varie en fonction des situation.

Ainsi comme tout conducteur l'individu va devoir obéir a des code de circulation ,et ainsi adapté son comportement a celui de ses rencontres .Bien -sur l'individu dans ce contexte de transition d'un point a un autre (sauf cas particulier ,nous signale l'auteur )et,remplis de nombreux rôle ,que chacun va repairé par un processus d'observation ,draguant la moindre information ,(qui peut aller des habit de celui-ci,a la simple direction engagé par ce dernier) l'objectif étant d'évité toute situation non désiré par l'individu (contact physique principalement ),empruntent même pour cela ,des codes a l'automobile ,comme la priorité a ceux déjà engagé sur une voie que l'on veut emprunté ,a l’inverse l'auteur nous fait remarquer que contrairement au automobiliste l'individu ,dispose d'une plus grande marge de manœuvre,qui lui assure l'esquive voir, la fuite dans les situation trop inconfortable.

D'une autre manière l'auteur caractérise une communication entre les différent partis en mouvement qui réalise un échange d'information de manière inconsciente afin d'indiqué ses intention ,voir des renseignement sur l'individu en tant que personne(méfiance ,sympathie,galanterie,dut a l'age ou, au sexe) faisant varier la réaction,de celui-ci qui communique ses ressentie,a l'autre lui signifient ses intention(céder le passage a une personne âgé par exemple). Dans un deuxième temps E,Goffman ,s’intéressent a ce qu'il nomme « les unité de participation » , comprenné ici la rapport qu'entretien ou,qu'entretiennent les individus seul ou, faisant parties d'un groupes ,et leur rapport . L'auteur remarque ,là le fait que l'individu faisant partis d'un groupe est identifié ,dans ce cas comme faisant partis d'un ensemble ,qui communique sa proximité plus ou moins grande au reste des individus présent .

Pour ce qui est du déplacement du groupe ,l'auteur nous fait remarqué que le groupe doit concilier son activité de communication interne au groupe, avec le cadre habituelle des déplacement ,et ne sont donc plus un ensemble établie ,même si il est signalé ,en tant que groupe,mais doit se « segmenter temporairement » pour s’adapter ,et diminuer l'exposition de chaque individu du groupe, a de possible contact ,la réduisent même par rapport a celle d'un individus « sans personne »(seul),car ceux-ci peuvent compter sur une certaine protection mutuelle .

D'autre part l'auteur continus son analyse sur la ce que communique les personne seul ,comme accompagné,car en effet même lorsque l'individu ou,le groupe sont pas en mouvement il renvois des idées socialement construites,l'individu faisant partis d'un groupe renverras donc une image ,de personne sociable puisqu'il est admis au seins d'un groupe ;a l'inverse le solitaire renvois une incapacité a ce crée des lien .

Cependant d'autre part l’attitude de la personne seul peut atténuer en quelque sorte ce phénomène en manifestent une certaine ouverture,principalement dans un cadre propice au rapprochement et ,au interaction direct (l'auteur nous fait remarquer par exemple que le faite d’être assis manifeste une ouverture même non désiré).d'une autre manière pour ce qui est du groupe, l'auteur distingue le fait que l'impression donné est partagé entre les membre du groupe ,qui est vu la aussi comme un ensemble;chose qui peut être diminuer par l'étalement de ce groupe dont les. »

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