Comprendre un regime politique la democratie

« Thème 1 : Comprendre un régime politique : la démocratie Ce thème a un double objectif : 1er : Analyser le régime politique dans lequel on vie 2ème : Développer nos connaissances sur la diversité des démocraties dans le monde et sur leurs évolutions Les deux axes ont pour buts : 1) de comprendre les différences entre démocraties directes et démocraties représentatives Le deuxième axes a pour but de montrer les forces et les fragilités de la démocratie à travers ses avances et ses reculs dans l’histoire Introduction : la démocraties, les démocraties : quelles caractéristiques aujourd’hui ? Qu’est-ce qu’une démocratie ? Kratos : pouvoir et Demos : peuple.

La démocratie suppose une adhésion individuel et collective a un cadre juridique et un projet de société.

A l’opposé de ce model politique se situe les régimes autoritaires (dictature) qui se caractérisent par le fait que le pouvoir est entre les mains d’une personne, d’une famille ou d’une armée. 1 : L’affirmation de l’Etat dans la première moitié du 16ème siècle Il n’existe pas une seule forme de démocratie.

Toutes démocraties reposent sur 4 grands principes interdépendant.

Le 1er principe est l’existence d’élections libres et régulières qui permettent au peuple souverain de s’exprimer.

Ce critère suppose l’existence de plusieurs partis politique (le pluralisme politique) mais aussi une alternance de ces parties politiques au pouvoir.

Le 2ème principe est le respect des libertés fondamentales (exemple : le droit d’expression, d’association…) ce qui sous-entend d’une presse libre (contrairement aux régimes sous Mussolini ou Hitler) et le droit de manifester ses opinions.

Le 3ème principe est l’égalité devant la loi.

Dans ces conditions aucunes personnes, aucuns groupes ne disposent de privilèges, ce qui implique que chacun est soumis aux même règles judiciaires, ce qu’on appel l’Etat de droit.

L’Etat de droit est un système institutionnel dans lequel la puissance publique est soumise aux droits.

Il est fondé sur le principe essentiel du respect des normes juridiques.

Le 4ème principe est la séparation des pouvoirs exécutifs (président et premier ministre), le pouvoir législatif (l’assemblée nationale) et le pouvoir judiciaire (cours de justice).

Cette séparation des pouvoirs a pour but d’éviter tous les abus.

Ces principes s’appliquent avec des régimes politiques variés (Républiques ou Monarchies) dans lesquels les citoyens peuvent participer directement aux décisions politique.

C’est ce que l’on appel une démocratie directe.

Ils peuvent également (citoyens) déléguer leurs décisions à des représentants élus (démocratie représentative). De nouvelles d’expressions politiques apparaissent.

Des regroupements de citoyens se créent en dehors des partis autours d’intérêt et d’idée et investissent les réseaux sociaux et les lieux publiques.

Ces citoyens estiment que le changement ne passera pas par les instituons mais par les associations multiples. De nouvelles formes d’exemple politique apparaissent.

Ces initiatives se traduisent par des fromes de démocraties participatives (=système dans lequel les citoyens interviennent dans une décision politique à la suite de délibération ou de consultation (exemple : referendum)).

Ce sont les assemblés citoyennes qui permettent de prendre des décision collectives après un débat publique ou chacun peut exprimer son opinion. 2 : Comparer démocratie et régimes autoritaires Les parties populistes accusent les élites ou certains groupes de ne pas défendre les intérêts du peuple.

Les partis populistes est un mouvement de groupe qui prétend défendre le peuple dont la souveraineté serait confisquée par une élite dans le système de la démocratie représentative.

Une fois au pouvoir sans rejeter le principe des élections ils restreignent les libertés civiles et l’Etats de droit au nom de l’identité nationale.

Le model démocratique d’origine occidentale est bafouée par des régimes autoritaires comme la Chine communiste ou les monarchies pétrolières du moyen orient qui répriment sévèrement toutes protestations.

La revue The Economist recense à l’échelle de la planète une trentaine d’Etat autoritaire.

Ces Etats autoritaire ont pour point commun derrières les élections de façades la confiscation du pouvoir par un homme, un groupe ou un parti et comme autre point commun le non-respect des droits de l’homme.

Le pouvoir est tenu par un dirigeant et son entourage s’appuie sur une police politique et fréquemment sur l’armée.

Les opposants sont arrêtés voir torturés, leur procès s’ils ont lieu sont bâclés, les médias sont contrôlés ou censurés et les populations sont surveillés.

La Corés du Nord cumule toutes ces caractéristiques, on parle même à son propos d’Etat totalitaire au nom d’une idéologie qui croisent nationalisme et communisme un partie unique contrôle l’ensemble de la vie politique et économique.

A sa tête se désigné Kim Jon UN désigne après son père et son grand père comme dirigeant suprême.

Il dirige l’armée, le parti et le gouvernement.

De plus ses décisions ne peuvent être conteste par aucune institution.

Il n’existe pas d’expressions individuels ou collective en dehors des mots d’ordre portés par la propagande d’Etat.

On estime à environ 100 000 le nombres de personne détenues arbitrairement dans les camps de prisonnier politique. Axe 1 : Penser la démocratie : Démocraties directes et démocraties représentative. Introduction : Qui exerce le pouvoir dans cette démocratie ? Le monde occidentale a connue deux réponses. La démocratie athénienne repose sur la participations directe des citoyens aux institutions.

La démocratie représentative contemporaine fonctionne selon la délégation de pouvoir. Adapté aux valeurs civique de son temps, chaque régime questionne la nécessité et le danger de la souveraineté populaire.

Restreint participation du peuple permet de se protéger de la démagogie mais conduit à la confiscation du pouvoir par une minorité ? Démocratisé le régime garantie une représentativité plus juste mais ouvre la voie à la tyrannie de la majorité. 1) Une démocratie directe mais limitée : être citoyen à Athènes au Vème siècle avant Jésus Christ Minorité Le model démocratique athénien retient aujourd’hui l’attention pour avoir inventé les premières formes de participation des citoyens à la vie politique : initiative des lois, la discussion et la prise de décision collective au sein des assemblé (boulè…) et le contrôle du pouvoir.

Pourtant Aristote montre que la démocratie athénienne réserve la citoyenneté qu’à une minorité.

Effectivement seul les hommes libres participes aux assemblé et au tribunal.

Ainsi sont exclu les esclaves, les métèques et les femmes et le enfants.

Cependant les femmes tenaient un espace importantes dans les cérémonies religieuses et notamment lors des fêtes des panathénées (fêtes en l’honneur de la déesse Athéna).

La définition propose par Aristote est trop théorique car la citoyenneté athénienne est complexe.

Elle repartie de façon inégale les droits et le devoirs, seul les hommes les possède tous alors que me femmes en ont quelques-uns.

Les limites du corps civique fluctuent au fil des années.

Il s’ouvre aux métèques et aux esclaves quand la démocratie était a consolidé mais aussi le régime se restreint quand il devient trop populaire.

En 451 avant J-C, Périclès restreint la citoyenneté aux enfants nés de deux athéniens pour limiter les dépenses liées au misthos (indemnité qui est versé aux citoyens lorsqu‘ils participent aux assemblés).

La participation directe des citoyens exposent la démocratie a des dérives.

En effet, le peuple a été soumis aux cités de la ligue de Délos. 2) Participer ou être représenté : Benjamin Constant « liberté des Anciens, liberté des Modernes ». - Benjamin Contant qui a vécu de 1637 1830 était un penseur de la démocratie libérale, témoins de la révolution française et de l’empire.

Il s’interroge sur la façon, dont doit être exercé le pouvoir politique.

Réfléchissant au rapport entre liberté et institution démocratique, il propose de protéger la société d’un Etat puissant qui doit être respectueux des droits individuels. - Sa réflexion s’articule autour de l’opposition historique entre deux libertés.

La liberté à Athènes et à Rome est la liberté politique.

Délivrer des taches matériels, tous les citoyens participent aux affaires de la cité.

Au 19ème siècle, la liberté des moderne se traduit par des libertés individuelles (détenir une propriété, travailler, faire du commerce).

Puisque les hommes préfèrent leur vie privé à leur engagement politique, il est logique qu’il délègue à des représentant élu à la majorité le pouvoir d’agir publiquement à leur place. - Ainsi, la démocratie directe laisse place à un régime représentatif.

Les représentants libèrent les citoyens de leurs taches politique, pour leur permettre de travailler et de bénéficier de leurs libertés individuelles. - Conscient des dangers despotique et du désinvestissement politique des citoyens, Benjamin Constant espère achever la révolution française grâce à son analyse critique.

Il défend le libéralisme (une doctrine qui défend des libertés individuelles contre l’emprise de l’Etat) tout en refusant ces dérives tyrannique (la Terreur avec Robespierre et l’Empire Napoléonien). - Quelle est l’actualité du discours de Benjamin Constant aujourd’hui ? Il nous met en garde contre les risques de désintérêt de l’action politique.

Les citoyens doivent s’ils veulent conserver leur liberté, investir le champ de la discussion publique et ne pas hésiter à révoquer leurs représentants s’ils ne sont pas dignes de leur fonction. Jalon 1 page 41 : Le métier de citoyens dans une démocratie directe. Comment la citoyenneté s’exerce-t-elle à Athènes ? La démocratie repose tout d’abord sur le principe d’égalité car on dit que.... »