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citations Rimbaud pour dissertation

Publié le 20/06/2025

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« Première soirée Scène de badinage amoureux entre le poète et une jeune fille Sensation Peinture des sensations du poète lors d’une promenade estivale Discussion entre un forgeron et le roi Louis 16 au palais des tuileries vers le 10 août 1792 Le Forgeron Soleil et Chair Ophélie Poésie révolutionnaire qui conteste l’autorité du souverain + écriture polémique avec des mots grossiers et familiers Hymne à l’antiquité et Critique de la foi évocation nostalgique de chrétienne. l’amour au temps de la Émancipation par mythologie gréco-romaine rapport à son éducation religieuse stricte. Le châtiment de Tartufe Évocation poétique du personnage Shakespearien d’Ophélie (Hamlet) Représentation satirique et grotesque de condamnés à mort par pendaison Portrait critique du personnage hypocrite et libidineux de Molière Vénus Anadyomèn e Réécriture parodique du mythe de la naissance de vénus Bal des pendus Composé de gestes, des formes décrivant la beauté du corps de la femme Il décrit ses fugues, mêlant la nature Les Répartis Longue rêverie d’un jeune de Nina amoureux romantique brutalement interrompue par sa compagne À la Description satirique de la musique bourgeoisie de Charleville assistant à un concert municipal Goût de la liberté, contact immédiat avec la nature, prise de risque François Villon « Je baisais ses fines chevilles.

» « J’irai loin, bien loin, comme un bohémien.

» « C’est la Crapule, Sire. Ça bave aux murs, ça monte, ça pullule.

» « Oh ! la route est amère Depuis que l’autre Dieu nous attelle à sa croix ; Chair, Marbre, Fleur, Vénus, c’est en toi que je crois ! » « Ô pâle Ophélia ! belle comme la neige ! Oui tu mourus, enfant, par un fleuve emporté ! » « La bise siffle au grand bal des squelettes ! » Anticléricalisme, critique d’une religion hypocrite. Démystification des figures d’autorité. Goût de la provocation. Renversement des motifs littéraires « Peuh ! Tartufe était nu du haut jusques en bas ! » Critique de la bourgeoisie provinciale. Émancipation par rapport au milieu d’origine. « Tous les bourgeois poussifs qu’étranglent les chaleurs Portent, les jeudis soirs, leurs bêtises jalouses.

» et « Moi, je suis débraillé « Belle hideusement d’un ulcère à l’anus » (rime avec vénus) Tu viendras, je t’aime ! Tu viendras, n’est-ce pas, et même… comme un étudiant.

» Sympathie pour les « « A genoux, cinq petits misérables » (les – misère ! Regardent le petits).

Valorisation du boulanger faire » peuple Les effarés Peinture pathétique d’enfants des rues affamés regardant un boulanger faire du pain Roman Petit récit d’un coup de foudre adolescent Écriture adolescente qui revendique une part de jeu et de provocation.

Contact avec la nature. « On n’est pas sérieux quand on a dix-sept ans.

Et qu’on a des tilleuls verts sur la promenade.

» et «Ce soir-là,…-vous rentrez aux cafés éclatants, vous demandez des bocks ou de la limonade » Peinture de la violence de la guerre face à l’indifférence de l’Église et des gouvernants « Pauvres morts ! dans l’été, dans l’herbe, dans ta joie, Nature ! ô toi qui fis ces hommes saintement ! » et « Il est un dieu qui rit aux nappes damassées » Morts de quatrevingtdouze… Le Mal Rages de Césars Portrait satirique de NIII prisonnier à la suite de la défaite de Sedan Rêvé pour l’hiver Scène de badinage amoureux à bord d’un train Le Dormeur du Val Portrait d’un soldat mort en pleine nature.... »

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