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Candide

Publié le 23/05/2020

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« LE PERSONNAGE DE CANDIDE Les caractéristiques de Candide : " Sa physionomie annonçait son âme.

Il a le jugement assez droit avec l’esprit le plus simple, c’est je crois, pour cette raison qu’on le nomme Candide ".

Voltaire nous décrit Candide comme un personnage peu crédible et très crédule(naïf).

Il croit aveuglément à la philosophie de Pangloss, le précepteur du château.

Il ne pense jamais par lui-même, cherche toujours conseil auprès de quelqu’un d’autre que lui et est très dépendant de Pangloss.

C’est vers la fin du conte que Candide pourra pour la première fois, faire taire Pangloss et lui exposer sa pensée sans redouter quelque moquerie de sa part. Naïf et insouciant, le jeune Candide aime éperdument la belle Cunégonde mais seulement pour ses attraits, je cite, " fraîche, grasse et appétissante ". C’est d’ailleurs à cause d’elle que Candide se fait renvoyer du beau château de Thunder-ten-tronckh comme Adam se fit renvoyer du Jardin d’Eden lorsqu’il goûta au fruit défendu, Cunégonde étant ici le fruit défendu. L’évolution à travers les différents mondes rencontrés : Au chapitre 1, le château représente un univers hiérarchisé, fondé sur des illusions et des faux-semblants, sans changement social possible.

Monde clos sur lui-même, ignorant le réel, le temps semble s’y dérouler toujours à l’identique.

Le récit est à l’imparfait, valeur durative et répétitive. Dès chapitres 2 à 29, Candide passe du château, monde fermé et stérile, au jardin, lieu d’échanges féconds.

Il apprend à connaître le monde réel, où s’offre le spectacle du mal absolu, sous toutes ses formes.

Candide découvre ce mal, l’éprouve à tous les niveaux et abandonne la vision optimiste du monde héritée de son maître. Au chapitre 30, la métairie est un monde bourgeois qui fructifie.

Elle est le lieu de l’action, du travail et de la vie en communauté.

Si le monde est clos, on sait toutefois ce qui se passe à l’extérieur.

Le récit est au passé simple, par opposition à l’imparfait du premier chapitre.

C’est le temps de l’action et de la réalisation.

Les personnages ne vivent plus dans un monde immobile.. »

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