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BRUNE, Guillaume (1763-1815) Après être passé du droit à la littérature,

Publié le 17/05/2020

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Maréchal de France. Fils d'un avocat de Brive, il se lia avec Danton et commença sa carrière militaire en 1793 contre les Vendéens puis commit de nombreux excès à Bordeaux. Général de brigade, il s'illustra à Arcole (1796), fonda la République helvétique (1798) et, en 1799, chassa les Anglo-Russes de la Hollande par la victoire de Bergen et la capitulation d'Alkmaar. Envoyé de nouveau en Vendée (1800), puis en Italie, il força le passage du Mincio (15 déc. 1800). Napoléon le fit maréchal à son avènement (1804). Commandant des rives de la Baltique (1807), il prit Stralsund et Rügen mais fut ensuite en disgrâce jusqu'en 1814. Il se rallia aux Bourbons, puis il offrit ses services à Napoléon durant les Cent-Jours et fut chargé d'un commandement dans le midi de la France. Peu après Waterloo, il fut assassiné par des royalistes méridionaux.

« BRUNE, Guillaume (1763-1815) Après être passé du droit à la littérature, avoir tâté du journalisme et participé à la création du Club des Cordeliers, il se lance dans la carrière militaire et devient vite général, grâce à l’appui de son ami Danton et à la victoire qu’il remporte à Pacy-sur-Eure (1793).

Bonaparte se l’attache après le 13 Vendémiaire et Brune se montre un brillant militaire pendant la campagne d’Italie, puis remporte la victoire de Bergen sur les Anglo-russes.

Promu maréchal et proche collaborateur de l’Empereur, il tombe en disgrâce pour sa maladresse lors de la signature d’un traité avec la Suède : il avait appelé “ française ” l’armée de Napoléon au lieu de la désigner comme celle de “ Sa Majesté Impériale et Royale ”.

Louis XVIII emploie ses services en le faisant gouverneur de Provence, mais des royalistes qui l’accusent du lynchage de la princesse de Lamballe, le massacrent à Avignon.

Ce crime restera impuni.. »

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