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Botswana (1999-2000) Continuité au pouvoir

Publié le 12/09/2020

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« Botswana 1999-2000 Continuité au pouvoir La confirmation au pouvoir, au terme des élections générales du 16 octobre 1999, du président Festus Mogae et du Parti démocratique du Botswana (BDP) a surtout mis en valeur le désintérêt populaire pour la chose publique.

Celui-ci s'est manifesté par la plus faible inscription d'électeurs enregistrée depuis l'indépendance (51 %).

L'opposition est apparue divisée à la fois lors de la dissolution du Parlement du 23 juillet 1999 et lors de la reconvocation de ce même Parlement en septembre afin d'adopter une loi d'extension de la période d'inscription des électeurs.

Le BDP a obtenu 33 des 40 sièges, laissant l'opposition exsangue ; il a conforté ses positions en zones rurales et est redevenu majoritaire dans les villes. La croissance économique s'est ralentie à 6 % principalement sous l'effet d'une chute en valeur (- 22 %) de la production de diamants, laquelle représente sinon un tiers du PIB.

Le gouvernement a continué à favoriser les investissements étrangers (en augmentation), notamment dans les secteurs du textile et de la métallurgie. La principale menace demeurait la propagation du VIH (virus de l'immuno-déficience humaine, déclencheur du sida) qui frappe désormais un adulte sur quatre.

De plus, les conditions sanitaires sont devenues très préoccupantes dans les zones rurales à la suite de la sécheresse de septembre 1999 puis des graves inondations de janvier 2000 qui ont fait des centaines de victimes. Par ailleurs, la Cour internationale de justice de La Haye a donné raison à Gaborone dans le conflit frontalier qui l'opposait à la Namibie depuis 1996, alors que l'afflux de réfugiés en provenance de Caprivi a semblé enrayé.. »

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