BOCQUILLON Julien 1GE5FrançaisDNS

« B OCQUILLON Julien 1GE5 Français DNS Les Fleurs du mal , Charles Baudelaire Ville rêvée (paysage idéal et froid) : « Rêve parisien » - « Du métal, du marbre et de l’eau » Ville réelle et artificielle : « Les petites vieilles » - « À travers le chaos des vivantes cités » Mort Obsession des dépouilles : « Danse macabre » - « Tu réponds, grand squelette, à mon goût le plus cher.

» « Un voyage à Cythère » - « Les intestins pesants lui coulaient sur les cuisses » Mort fascinante : « La mort des artistes» - « C'est que la Mort, planant comme un sommeil nouveau, Fera s'épanouir les fleurs de leur cerveau.

» Animal sauvage : « Les Chats » - « Les chats puissants » Animal docile, vulnérable et affectueux : « Les Chats » - « Qui comme eux sont frileux et comme eux sédentaires » Animal Immortel : « Les Chats » - « Qui semblent s'endormir dans un rêve sans fin » Nature divine : « Les Correspondances » - « La Nature est un temple ou de vivants piliers Laissent parfois sortir de confuses paroles » Nature hostile : « L'albatros » - « Le navire glissant sur les gouffres amers » Femme ange et démon : « L'hymne à la beauté » - « De Satan ou de Dieu, qu’importe ? Ange ou Sirène » Femme démon : « Tu mettrais l'univers entier dans ta ruelle » - « Il te faut chaque jour un cœur au râtelier » Femme merveilleuse et attirante : « Que diras-tu ce soir, pauvre âme solitaire » - « À la très-belle, à la très-bonne, à la très-chère » Femme laide : « Une charogne » - « Les mouches bourdonnaient sur ce ventre putride » « Le beau navire » - « Sur ton cou large et rond, sur tes épaules grasses » Femme douce et calme : « Le Parfum exotique » - « Qu'éblouissent les feux d'un soleil monotone » Femme dévorante : « A une madonne » - « Je veux bâtir pour toi, Madone, ma maîtresse, un autel souterrain au fond de ma détresse » Femme inspirant l'imagination : « Parfum exotique » - « Je respire l'odeur de ton sein chaleureux, Je vois se dérouler des rivages heureux » Femme qui l'étouffe : « Les métamorphoses du vampire » - « Je suis mon cher savant, si docte aux voluptés, Lorsque j’étouffe un homme en mes bras redoutés » M.

FLAMENT 06/11/2019 FRANÇAIS. »