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Après avoir évoqué brièvement tous les liens qui attachent un jeune au cadre de son enfance, de son adolescence, dégager les diverses raisons qui, en 1982, peuvent l'inciter à « partir », à quitter le milieu où il a vécu. (Une trentaine de lignes.)

Publié le 16/07/2020

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Ci-dessous un extrait traitant le sujet : Après avoir évoqué brièvement tous les liens qui attachent un jeune au cadre de son enfance, de son adolescence, dégager les diverses raisons qui, en 1982, peuvent l'inciter à « partir », à quitter le milieu où il a vécu. (Une trentaine de lignes.). Ce document contient 1265 mots soit 3 pages. Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système gratuit d’échange de ressources numériques. Cette aide totalement rédigée en format PDF sera utile aux lycéens ou étudiants ayant un devoir à réaliser ou une leçon à approfondir en Littérature.

« LA JEUNESSE Texte. Situation du passage : Rhada, sur Noir son cheval, a quitté sa tribu que les « autorités » ont sédentarisée. Elle découvre l'ermite qui vit dans sa grotte... « Pourquoi n'es-tu pas pas restée dans ta tribu ? — Pourquoi n'es-tu pas resté dans la tienne ? Le vieil homme avait serré les lèvres en riant. — Tu es une fille. — Explique. — La vie est encore plus difficile pour une fille que pour un homme. Tu cours plus de risques que moi. — La vie d'une fille, d'une femme, dedans ou dehors, est plus difficile que celle d'un homme. Prononçant ces mots, elle se demandait ce qu'elle voulait dire. Longtemps ils étaient restés tous les deux sur cette affirmation en forme de certitude. A l'intérieur d'elle, Rhada regardait les réunions des femmes de sa tribu, l'après-midi. Toutes étaient parées, fardées, gaies. Elles se jouaient des comédies et, dans leur comédie, toujours se moquaient des hommes. Elles savaient tout de toutes mais aussi tout de tous. Elles riaient sous cape. Puis elles rentraient chez elles, servaient le repas du mari, mangeaient après lui. Ce n'était pas une vie difficile. C'était une vie difficile pour Rhada puisqu'elle n'avait pas voulu la mener. Elle ne refusait pas de vivre avec les autres femmes, elle refusait de se moquer des hommes. Elle refusait de servir l'Homme. Elle ne voulait pas que le prix de la servitude lui fût payé du droit de se moquer du maître. Elle aimait et l'homme et la femme, et savait de naissance que la vie d'une femme était plus difficile, dedans ou dehors, que la vie d'un homme. Dedans ou dehors, partout sauf dans cette grotte. La grotte, n'était-elle ni dedans, ni dehors ? Auprès de l'ermite, Rhada était débarrassée de la tribu chaleureusement malveillante, des femmes à la gaieté contingentée. — Je suis trop jeune. — Trop jeune ? — Pour rester comme toi, longtemps, dans cette paix. L'homme n'avait rien objecté. Il la laissait avancer seule, ne lui tendait pas la main. Rhada poursuivait. — Toi, tu sais d'où tu viens, d'où tu reviens. Moi, je ne sais encore rien. — De toi ? — De moi et des autres. Je ne' peux pas renoncer à ce que je n'ai pas fait ; Tu me montres- ton dénuement, je cherche ma liberté, je ne voudrais pas que l'une passe par l'autre. Je vais voir. » Michèle PERREIN, Extrait de Comme une fourmi cavalière. ...»

« LA JEUNESSE Texte.

Situation du passa g e : Rhada, sur Noir son cheval, a quitté sa tribu que les « autorités » ont sédentarisée.

Elle découvre l'ermite qui vit dans sa g rotte ...

' « Pourquoi n'es-tu pas pas restée dans ta tribu ? -· Pourquoi n'es-tu pas resté dans la tienne ?. »

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