apollinaire
Publié le 22/05/2020
Extrait du document
«
Collège Notre-Dame de Jamhour Classe de
Première
APOLLINAIRE, « Le Pont Mirabeau », Alcools , 1913
Axe I : La fuite du temps
1.
Écoulement fluide
Isotopie de l’écoulement : « coule », « passe »,
« reviennent », « va », « vont »
Absence de ponctuation
Allitération en [l]
Brièveté des vers
2.
Écoulement sentimental
Comparaison « l’amour s’en va comme cette eau courante »
Métaphore « Des éternels regards l’onde si lasse »
Anaphore « L’amour s’en va »/ »L’amour s’en va »
Brisure du décasyllabe au niveau des vers 2/3
3.
Écoulement fatal
Structure cyclique : retour du premier vers à la fin du
poème : « Sous le pont Mirabeau coule la Seine »
Reprise anaphorique de la négation « Ni temps passé/Ni les
amours reviennent »
Progression temporelle : « nuit »→ « jours »→ « semaines »
Modalité interrogative : « Faut-il qu’il m’en souvienne »
Double usage de l’impersonnel : « faut-il » et « qu’il m’en
souvienne »
Axe II : La maîtrise du temps
1.
Désir de résistance
Opposition de l’image de la stabilité : « le pont », « nos
bras », « je demeure » à celle de l’instabilité des éléments :
« Seine », « jours », « amours »
Le subjonctif à valeur injonctive : « Vienne la nuit sonne.
»
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