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AnnalesTaciteXIV, 8 : la mort d'AgrippineCependant le bruit du péril d'Agrippine s'étaitrépandu ; on l'attribuait au hasard ; le peupleaccourt en tumulte sur le rivage.

Publié le 23/05/2020

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Ci-dessous un extrait traitant le sujet : AnnalesTaciteXIV, 8 : la mort d'AgrippineCependant le bruit du péril d'Agrippine s'étaitrépandu ; on l'attribuait au hasard ; le peupleaccourt en tumulte sur le rivage. Ce document contient 346 mots soit 1 pages. Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système gratuit d’échange de ressources numériques. Cette aide totalement rédigée en format pdf sera utile aux lycéens ou étudiants ayant un devoir à réaliser ou une leçon à approfondir en Culture générale.

« Annales Tacite XIV, 8 : la mort d'Agrippine Cependant le bruit du péril d'Agrippine s'était répandu ; on l'attribuait au hasard ; le peuple accourt en tumulte sur le rivage.

Ici l'on monte sur les jetées, là sur les barques ; les uns s'avancent dans les flots autant que la profondeur de l'eau le permet ; les autres ont les bras étendus vers la mer ; la côte retentit de plaintes, de v œ ux, de questions diverses, de réponses vagues ; elle brille de flambeaux sur toute sa longueur.

On apprend que l'impératrice est sauvée, et on se disposait à aller la féliciter, lorsqu'à la vue d'un bataillon armé et menaçant, la foule se disperse.

Anicet investit la maison, les portes en sont brisées ; on se saisit des esclaves qui se présentent, on pénètre à l'appartement de l'impératrice ; il y avait peu de monde, la terreur de l'irruption en avait écarté le concours ; il était éclairé d'une faible lumière.

Agrippine n'avait à ses côtés qu'une de ses femmes : personne ne se présentant de la part de son fils, pas même Agémus, son effroi s'accroît de moment en moment.

Le rivage avait changé de face, il était désert : des cris subits s'y faisaient entendre par intervalle, tout annonçait le malheur extrême. La servante d'Agrippine s'éloignant : “ Et toi, tu m'abandonnes aussi ! ” lui dit sa maîtresse.

À l'instant elle aperçoit Anicet, accompagné du triérarque Herculéus et du centurion de flotte Obaritus.

“ Si vous me visitez de la part de Néron, leur dit-elle, allez lui apprendre que je suis guérie ; si vous venez m'assassiner, je ne croirai point que mon fils ait ordonné un parricide.

” Elle était dans son lit.

Les meurtriers l'environnent, le triérarque lui décoche un coup de bâton sur la tête.

Agrippine, le milieu du corps avancé vers le centurion, qui tirait son. »

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