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Analyse linéaire Chapitre 27 - Gargantua

Publié le 31/01/2024

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« GARGANTUA CHAPITRE 27- FRANÇOIS RABELAIS INTRODUCTION Accroche, auteur et œuvre: François Rabelais, écrivain appartenant au mouvement humaniste du début du 19e siècle, publie son 2nd roman, Gargantua, en 1534 : ouvrage pédagogique et critique rédigé sous la forme d'un geste farcesque.

Ce roman synthétise toute la pensée humaniste de François Rabelais Extrait: Dans le chapitre 17, le rire est justement utilisé pour nous introduire un des personnages majeurs des chroniques Pantagruéliques, Frère Jean, qui aura d'ailleurs le dernier mot du roman.

Dans cet extrait, ce mois-là typique qui préfère le service du vin plutôt que le service divin s'engage dans un combat solitaire contre l'âme et de Picrochole en vue de protéger ses très chères vignes.

Il se place immédiatement sous l'égide de la joyeuse communauté de buveurs de Rabelais. Problématique: Cet extrait du sauvetage de l'abbaye de Seuilly est-il parodique du genre épique ? MOUVEMENTS 1.

Figure du moine guerrier 2.

Un massacre comique 3.

Mise à mort dérisoire des ennemis I. - Le moine Jean entre en scène à travers une métamorphose physique en retirant son “grand habit" de moine, il révèle sa vraie nature et se prépare aux prouesses guerrières. - Son accessoire, le bâton de la Croix, est elle-même comparé à une lance, contribuant à préparer sa transformation en arme mortelle. - Frère Jean est introduit dans le combat par les verbes “frappa” et “cogna” qui sont chacun modalisés par un adverbe d'intensité si il tournure superlative. - Les compléments circonstanciels de manière “si brutalement” et “si froidement” rendre compte de la violence, la force et la détermination de Frère Jean.

Cette violence est justifiée par le comportement des ennemis qui déroge à leur devoirs de soldat.

Construction symétrique de points “sans ordre, sans enseigne, sans trompette, ni tambour” =>chiasme qui souligne l'avilissement des soldats qui piquent et font de leurs armes le réceptacle de leurs méfaits. - Parodie d'épopée de par l'image d'un genre transformé en une sorte de héros qui s'oppose seul face à une armée de “porcs” Une fois notre personnage transformé, est décrite l'attaque qu'il entreprend. II. - Donne une impression d'infini recommencement et de combat sans fin avec énumération et parataxe des actions de Frère.... »

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