analyse linéaire arthur Rimbaud « Au Cabaret-Vert »: « Comment Arthur Rimbaud raconte ces fugues ? »

« Arthur Rimbaud est un auteur symboliste du XIXème siècle, il vient d’une famille ou il est élevé par ça mère très autoritaire, ce qui pousse le jeune homme à faire beaucoup de fugues.

Arthur Rimbaud a écrit d’autres recueils de poème, Illumination et Une saison en enfer.

Le texte que nous allons étudier est « Au Cabaret-Vert », c’est sonnet en alexandrin qui provient du recueil de poème Cahiers de Douai et qui a été publié en octobre 1870.

Durant cette explication linéaire je vais répondre à la problématique « Comment Arthur Rimbaud raconte ces fugues ? ».

Pour analyser ce poème je vais le diviser en quatre mouvements, le premier mouvement sera le premier quatrain, qui est une description de son arrivée dans le lieu, le deuxième mouvement sera le deuxième quatrain, qui est une description de l’auberge dans laquelle il arrive, le troisième mouvement sera le premier et le deuxième tercet, qui décrivent le beau plat apetissant qui lui est servi. Mouvement 1 : Description de son arrivée dans le lieu. Dans ce mouvement Arthur Rimbaud nous montre qu’il a voyagés dans de dures conditions, ce mouvement raconte probablement une de ces fugues. Dans le vers 1 l’auteur nous montre qu’il a fait un long voyage épuisant « Depuis huit jours, j’avais déchiré mes bottines », cela fait probablement référence à une de ses fugues, on peut également voir un enjambement du vers 1 au vers 2 ce qui insiste sur les faits que son voyage était difficile car il marchait dans des chemins avec des cailloux qui ont abimés ses chaussures.

Au vers 2, l’auteur nous donne le lieu de ça fugue qui est ici Charleroi.

Dans le 3eme vers, il nous précise l’endroit dans lequel il va qui est une auberge nommée « A la maison verte » comme dit dans le paratexte.

Nous avons dans le vers 4 Une description de ce qu’il demande à manger, le fait qu’il précises que ses tartines sont à moitié froide ajoute un aspect de pauvreté et montre qu’il n'est pas ici en balade.

Pour finir, dans ce mouvement le lien avec le projet de lecture est fait en nous montrant bien qu’il raconte une fugues et que celle-ci à lieus dans des conditions difficiles. Mouvement 2 : Description de l’auberge dans laquelle il arrive. Dans ce mouvement, Arthur Rimbaud nous décrit l’endroit particulier dans lequel il vient de rentrer, il s’y sent bien. Dès le premier mot, le poète nous interpelle avec un long mot isolé des autres, ce mot est « Bienheureux » cela nous montre un bien être, le fait qu’il soit enfin posé les jambes allongées sous la table comme il le dit juste après, ce vers montre qu’il est bien et qu’il est.... »