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Analyse linéaires de Ornière de Arthur Rimbaud

Publié le 14/06/2022

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rimbaud

« Texte 8 : Ornière Analyse Linéaire Introduction : 17eme fragment du recueil de poème en prose de Rimbaud intitulé Illumination parue en 1886.

Poète maudit et satirique, à travers l’écriture de Illumination, Rimbaud ne veut pas changer le monde, il veut le dire autrement.

Ainsi ce poème de Rimbaud intitulé « Ornière » signifiant une trace plus au moins profonde creusé par les roue de voiture est un poème en prose qui veut créer la poésie, non par les rimes et les retour à la ligne, mais seulement avec le rythme des phrase, des propositions, sonorités, images..

On en vient donc a se demandé comment le poète parvient il à transformer le quotidien le plus banal en spectacle extraordinaire.

Ce poème est composé de 3 phrases inégales chacune correspondent a peu près à deux mouvement séparer par une sous parti.

Ainsi dans un premier temps nous nous intéresserons au décor et la situation, puis nous analyserons le contenu du défilé. I.

Le décor, la situation • Rimbaud de façons assez classique, nous dépeint le décor et la situation à travers le regard d’une personne situé sur le chemin.

Puisque on retrouve des indications de direction « à droite » « à gauche » et des indications temporelles « à l’aube d’été » • La situation spatial est des plus banal et pas vraiment dans les moindre détails, d’ailleurs on retrouve une description assez vague : « mille rapide ornière de la route humide » « talus » « parc ».

C’est comme si le poète été a la lisière d’un parc « suburbain » • On a donc une situation très banale et simple.

Mais le poète va subtilement changer tout cela en poésie.

Et ceci grâce au pluriel « feuilles, vapeurs, bruits » qui donne une impression de vie bruissante, a cela s’ajoute l’allitération du son « ill » qui provoque un son très doux. • Le poète évoque aussi plusieurs éléments de la nature : « feuilles » des arbres, « vapeur » de la rosé et les « bruits » des oiseaux qui se réveillent.

On a donc un tableau sensoriel qui se dresse avec la vue, le toucher et l’ouïe. • La couleur « ombre violette » ressemble à la manière d’un peintre qui essaye de chercher, la couleur la plus ressemblante à ce qu’il a vu.

Le paysage est donc un tableau un artistique. • Ce paysage trivial, banal est transformé par la personnification des « talus » qui « tiennent » et par l’hyperbole « mille rapide » Riache Karim. »

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