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Analyse des « Précieuses Ridicules »

Publié le 26/01/2021

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Scène 1. Deux gentilshommes parisiens, La Grange et Du Croisy, qui étaient venus présenter leurs hommages à deux jeunes filles récemment arrivées de province (ils envisageaient même de les demander en mariage au vieux Gorgibus si elles leur plaisaient et s'ils leur plaisaient), ont été, par elles, fort mal reçus. La Grange comprend pourquoi : ce sont des coquettes qui se piquent de la plus mauvaise préciosité. Il décide, si son camarade accepte, de leur jouer un bon tour.

 

« 1 / 2 Analyse des « Précieuses Ridicules » UN DIVERTISSEMENT EXTRÊMEMENT GAI, UN BALLET DÉSINVOLTE Scène 1.

Deux gentilshommes parisiens, La Grange et Du Croisy, qui étaient venus présenter leurs hommages à deux jeunes filles récemment arrivées de province (ils envisageaient niême de les demander en mariage au vieux Gorgibus si elles leur plaisaient et s'ils leur plaisaient), ont été, par elles, fort mal reçus.

La Grange comprend pourquoi : ce sont des éoquettes qui se piquent de la plus mauvaise préciosité.

Il décide, si son camarade accepte, de leur jouer un bon tour.

Scènes 2, 3, 4.

Gorgibus, fort dépité lui aussi, demande des explications à sa fille Madelon ( diminutif courant de Magde­ leine) et à sa nièce Cathau (diminutif courant de Catherine 1 ).

Elles lui répondent que ces deux personnes « étaient tout à fait incongrues en galanterie » : ni leurs vêtements ni leurs manières n'étaient dans les normes du beau monde, et ils voulaient débuter par le mariage.

Fi !...

Gorgibus ne com­ prend rien à leur « baragouin 2 », d'autant que Cathau et Madelon lui demandent de les appeler désormais Polixène et Aminte, comme dans les romans à la mode...

Gorgibus les laisse, furieux.

1.

Beaucoup d'éditions écrivent Cathos, Magdelon, et cette orthographe compliquée trompe souvent les élèves.

Il faut_ prononcer en effet Cathau, M4delon ( comme dans la chanson célèbre « la Madelon, viens nous servir à boire»), -et c'est justement parce qu'elles estiment ces prénoms fort vulgaires que les deux précieuses veulent en changer.

2.

C'est le mot même de Gorgibus.

Les Parisiens, qui ne comprenaient pas les Bretons et leur entendaient répéter souvent les mots, bara, pam, et gwin, vin, appelaient tout langage étranger du baragouin.

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