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Analyse de document: Les conflits israélo-arabes et israélo-palestiniens

Publié le 23/05/2020

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« © Nathan 2017 – Histoire T le collection Guillaume Le Quintrec, Livre du professeur BAC Chapitre 7 Étude de document – Corrigé SUJET : Les conflits israélo -arabes et israélo -palestiniens Parmi les nombreux conflits du Moyen -Orient, ceux qui opposent Israël aux pays arabes et aux Palestiniens perdurent depuis 1948.

Trois guerres ont opposé les deux premiers (1948, 1967 et 1973), une lutte violente oppose Israéliens et Palestiniens (notammen t les deux intifadas en 1987 et 2000).

Les États -Unis usant de l’influence qu’il s exerce nt dans la région, cherchent à y mettre un terme .

Ainsi , dans le discours qu’il prononce au Cair e le 4 juin 2009 Barack Obama, p résident des États -Unis entre 2009 et 20 17, rappelle c es différents conflits et fait des propositions pouvant favoriser la paix , en s’adressant successivement aux différents acteurs des conflits.

La naissance de l’ État d’Israël en 1948 est suivie des conflits israélo -arabes marqués par trois guerres (1948, 1967 et 1973) et des conflits israélo -palestinien s (notamment les deux intifadas en 1987 et 2000).

Les États -Unis tout en soutenant l’ État d’Israël, cherchent à établ ir la paix dans la région .

Les Palestiniens aspirent à un État indépendant ; cette aspiration est reconnue comme légitime par le p résident des État s-Unis.

Ils disposent depuis les accords d’Oslo de 1993 d’une autorité représentative « l’Autorité palestin ienne » qui s’exerce sur la Cisjordanie et Gaza.

Le Hamas, parti islamiste qui refuse l’ État d’Israël et multiplie les attaques , « jouit du soutien de certains Palestiniens » qui se manifeste notamment lors des élections : ce parti , dont le nom est un acro nyme de mouvement de résistanc e islamique et né durant la première i ntifada en 1988 , remporte les élec tions législatives de 2006.

Le p résident américain demande , alors, l’arrêt des violences et cite des actes particulièrement cruels réalisés par des Palest iniens contre des Israéliens : tirs de roquettes contre des enfants ou assassinats de femmes.

Le second acteur du conflit, Israël, allié traditionnel des États -Unis n’est pas épargné.

Bien que sa demande de reconnaissance de l’État d’Israël soit considér ée comme légitime, sa politique de colonisation est condamnée.

En effet, ce dernier ne respecte pas les engagements pris , notamment lors des accords d’Oslo , et poursuit la colonisation en Cisjordanie, territoire sous autorité palestinienne.

Le président ra ppelle que « ces constructions constituent une violation des accords passés ».

Bara ck Obama demande également à Israël de tout mettre en œuvre pour faire cesser « la crise humanitaire à Gaza ».

En effet, les combats entre Israël et le Hamas s’y poursuivent malgré les accords signés, alors que le blocus empêche l’approvisionnement des populations dont les conditions de vie sont difficiles.

Le troisième acteur, ce sont les État s arabes voisins qui ne reconnaissent pas l’ État d’Israël (sauf l'É gypte depuis 1979 et la Jordanie depuis 1994).

Le Président salue comme un progrès « l'initiative arabe de paix ».

Il s’agit du plan de paix proposé par l’Arabie Saoudite en 2002 au sommet de la ligue arabe et soutenu notamment par l’Union européenne.

En échange de la reconnaissance de l’ État d’Israël et de la paix, les État s arabes demandent à le retrait d’Israël des territoires occupés, le règlement du problème des réfugiés palestiniens et la création d’un État palestinien avec pour capitale Jérusalem -Est.

Le Présiden t américain trouve néanmoins cette proposition insuffisante et invite ces État s « à développer les institutions qui permettront d'asseoir leur État ; à reconnaître la légitimité d'Israël ; et à opter pour le progrès au lieu de se polariser de manière autod estructive sur le passé. ». »

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