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À JO km au sud de SarlatL' «Acropole du Périgord»C'est en 1281 que Philippe le Hardidonna l'ordre de faire construire, surle belvédère naturel de la Barre, unebastide afin de surveiller les Anglaisinstallés en Agenais.

Publié le 22/05/2020

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Ci-dessous un extrait traitant le sujet : À JO km au sud de SarlatL' «Acropole du Périgord»C'est en 1281 que Philippe le Hardidonna l'ordre de faire construire, surle belvédère naturel de la Barre, unebastide afin de surveiller les Anglaisinstallés en Agenais. Ce document contient 456 mots soit 1 pages. Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système gratuit d’échange de ressources numériques. Cette aide totalement rédigée en format pdf sera utile aux lycéens ou étudiants ayant un devoir à réaliser ou une leçon à approfondir en Divers.

« 1 / 2 L' «Acropole du Périgord» C'est en 1281 que Philippe le Hardi donna l'ordre de faire construire, sur le belvédère naturel de la Barre, une bastide afin de surveiller les Anglais installés en Agenais.

La place forte est édifiée dans un site exceptionnel : une falaise de 160 m de hauteur y domine en effet les méandres paresseux de la Dordogne.

C'est 1'« Acropole du Péri­ gord», ainsi que l'a dénommée Jean Secret.

Les remparts qui protégeaient la ville forte sont toujours en place, de même que les trois portes qui y donnaient accès; l'une d'elles, la porte de la Combe, est un simple passage, mais les deux autres, la porte Delbos et surtout la porte des Tours, sont tout à fait imposantes.

Cette dernière est encadrée par deux tours qui faisaient office de corps de garde et de prison.

Le visiteur abandonne son véhicule sur la place de la Rode (ancien nom de la roue, instrument de torture sur lequel étaient rompus les membres des suppliciés).

Puis il s'engage dans les ruelles, qui ne parviennent pas toujours à respecter le plan géométri­ que propre aux bastides: c'est que le terrain est pentu et qu'il a fallu s'adapter à la configuration des lieux.

Les maisons sont construites pour la plupart dans une belle pierre de couleur ocre sur laquelle tranchent les fleurs et les plantes dont les Dommois sont prodigues ; beaucoup de ces demeures ont été édifiées entre le XIIIe Photo ).-D.

Sudres/Scope: Domme Texte Etienne Leyris À JO km au sud de Sarlat et le XVIIIe s.

En remontant la Grand­ Rue, on parvient sur une place au centre de laquelle s'élève une halle (xvne s.) dont les piliers supportent un balcon en bois, lui aussi fleuri.

En face, le syndicat d'initiative et le musée Paul-Reclus (préhistoire, arts et traditions populaires) occupent la maison des Gouverneurs (xvi< s.) flan­ quée d'une fort belle tourelle en poivrière.

Sous cette même place s'ouvrent les grottes de Domme (entrée dans la halle), plus de 450 m de galeries souterraines et de salles décorées de stalactites et de stalagmi­ tes, de concrétions et de cristallisa­ tions diverses.

Chaque fois que des troubles (guerre de Cent Ans : guerres de religion par exemple) ont menacé la quiétude de la bourgade, les Dom­ mois ont trouvé dans ce réseau sou­ terrain un abri où se réfugier.

Le panorama de Domme ---­ Du Belvédère de la Barre, et mieux encore de la promenade des Falaises, la majestueuse vallée de la Dordogne se déploie sous vos yeux, du cingle de Montfort, à l'est, jusqu'à Beynac, à l'ouest.

Une végétation exubérante et de riches cultures (maïs, tabac) bor­ dent la rivière, tandis que de multiples châteaux (Montfort, La Roque­ Gageac, Fayrac, Beynac-et-Cazenac) montent la garde au sommet des falaises.

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