5 résultats pour "volupté"
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Les amours de Psyché et de Cupidon (extrait)Jean de La Fontaine... Volupté, Volupté, qui fus jadis maîtresseDu plus bel esprit de la Grèce,Ne me dédaigne pas, viens-t'en loger chez moi ;Tu n'y seras pas sans emploi.
Les amours de Psyché et de Cupidon (extrait) Jean de La Fontaine … Volupté, Volupté, qui fus jadis maîtresse Du plus bel esprit de la Grèce, Ne me dédaigne pas, viens-t'en loger chez moi ; Tu n'y seras pas sans emploi. J'aime le jeu, l'amour, les livres, la musique, La ville et la campagne, enfin tout ; il n'est rien Qui ne me soit souverain bien, Jusqu'au sombre plaisir d'un c œur mélancolique. Viens donc ; et de ce bien, ô douce Volupté, Veux-tu savoir du vrai la mesure certaine ? Il m'en f...
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Est quaedam flere voluptas
Est quaedam flere voluptas Les larmes offrent une forme de plaisir Il s'agit de la fin d'un vers d'Ovide (Tristia, 4, 3, 37), déjà proverbial au Moyen-Age (Walther 7829) et qui fut répertorié dans le Polythecon (4. 87). On lit d'autres formules voisines chez Pline le Jeune (Ep .• 8, 16 .. S : Est enim quaedam etiam dolendi vo/uptas) : dans le Thyeste de Sénèque qui affi1111~ que la douleur aime les pleurs (v. 9S2) et que les infor...
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Henri MATISSE:LUXE, CALME ET VOLUPTÉ.
Henri MATISSE LUXE, CALME ET VOLUPTÉ Le trait harmonieux de la baie de Saint-Tropez le long de la Méditerranée évoque pour Matisse les vers apaisés du poème de Baudelaire «Luxe, calme et volupté». En juille t 1904 , Ma tisse , sa femme et son fils son t in vités chez Signac à Sa int-Tropez . Sans do ute influencé pa r son a îné, Ma tisse se la is se gagner ou poin tillisme. Pas tout à fait cepend ant. Il aura reco urs a u...
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Ninon de Lenclos Saint-Evremond ne la définit pas mal en disant que son âme était formée" de la volupté d'Epicure et de la vertu de Caton l'Ancien ", encore queCaton soit un peu exagéré.
Ninon de Lenclos
- « L'encre, c'est de la bile noire. La mélancolie, à travers les liges, guide et inspire l'écrivain. Qu'on la considère comme une maladie une folie même un péché ou une volupté, elle accompagne toujours le réflexe d'écrire.»