14 résultats pour "quelquefois"
- On le voyoit quelquefois aux douleurs de l'enfantement, representant l'accouchement d'une femme. ? Nicolas Coëffeteau, Histoire romaine
- Il arrivait quelquefois qu'un arrêt solennel du parlement violait le refuge et restituait le condamné au bourreau. Victor Hugo, Notre-Dame de Paris, ABU, la Bibliothèque universelle
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« On se plaint quelquefois des écrivains qui disent moi. Parlez-nous de nous, leur crie-t-on. Hélas! quand je vous parle de moi, je vous parle de vous. Comment ne le sentez-vous pas? Ah! insensé qui crois que je ne suis pas toi! » (Victor Hugo.)
1 / 2 102 XIXe SIÈCLE III. Expression. D'autres ont, en effet, été plus artistes. Pour lui il ne veut pas connaître le dur travail de la lime. De là des défauts et des négligences incontestables.... Mais il possède une abondance, une facilité qui ont rarement été égalées.... Il a aussi une science innée du rythme et de la mélodie du vers français. (Citations.) Il a le sentiment des harmonies douces et caressantes, des rythmes glissants et fugitifs Maintenant sous le ciel t...
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les philosophes du XVIIIe siècle, Montesquieu semble-t-il, puis Voltaire, Rousseau substituent celle de religion naturelle, non sans aller quelquefois jusqu'à l'athéisme comme Diderot.
Introduction : a) A la notion traditionnelle de religion révélée, jugée par eux fallacieuse et dangereuse. b) les philosophes du XVIIIe siècle, Montesquieu semble-t-il, puis Voltaire, Rousseau substituent celle de religion naturelle, non sans aller quelquefois jusqu'à l'athéisme comme Diderot. c) Ils savent donc s'unir contre leur ennemi commun : le christianisme, en particulier la religion de leur pays, le catholicisme romain; mais ils sont loin d'être d'accord sur le reste, c'est-à-dire sur Di...
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Les convulsionsLes convulsions se manifestent par un raidissement du corps,puis des mouvements saccadés incontrôlés des bras et des jambes,une perte de conscience, des yeux révulsés, quelquefois une perted'urine, une morsure de la langue.
Votre santé au quotidien - © Larousse 2004 Les convulsions Lesconvulsions se manifestent par un raidissement du corps, puis des mouvements saccadés incontrôlés des bras et des jambes, une perte de conscience, des yeux révulsés, quelquefois une perte d'urine, une morsure de la langue. La crise peut durer quelques secondes ou quelques minutes et est suivie d'une période de somnolence, avec baisse du tonus et de la vigilance. Pendant la crise, il est important de mettre l'enfant en position la...
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Un grand nombre d'oeuvres romanesques et théâtrales prennent pour sujet l'amour malheureux, l'échec sous des formes diverses, la mort, et quelquefois des calamités telles que la peste ou la guerre. Quel intérêt et quel plaisir vous prenez à l'évocation de sujets qui, dans le monde réel, vous paraissent pénibles ?
Introduction Écrire relève-t-il d'un fondamental pessimisme? On peut se poser la question quand l'on considère le nombred'œuvres romanesques et théâtrales prenant pour sujet l'amour malheureux, l'échec, la mort et quelquefois descalamités telles que la peste ou laguerre.On peut également se demander pourquoi ces thèmes « négatifs » attirent et séduisent les lecteurs. Si l'on admetque le plaisir de voir souffrir autrui ne concerne que peu d'entre eux, on devra chercher d'autres raiso...
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Un grand nombre d'oeuvres romanesques et théâtrales prennent pour sujet l'amour malheureux, l'échec sous des formes diverses, la mort, et quelquefois des calamités telles que la peste ou la guerre. Vous direz, en vous appuyant sur des exemples précis, quel intérêt et quel plaisir vous prenez à l'évocation de sujets qui, dans le monde réel, vous paraissent pénibles.
Un grand nombre d'oeuvres romanesques et théâtrales prennent pour sujet l'amour malheureux,l'échec sous des formes diverses, la mort, et quelquefois des calamités telles que la peste ou la guerre.Vous direz, en vous appuyant sur des exemples précis, quel intérêt et quel plaisir vous prenez àl'évocation de sujets qui, dans le monde réel, vous paraissent pénibles. Introduction Un sujet vaste comme la littérature, comme le champ de l'oeuvre d'art elle-même, car les thèmes év...
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E. Faguet écrit de Corneille : « Né dans un demi-siècle romantique, il a été romantique très pleinement et quelquefois trop. » Que pensez-vous de cette opinion ?
E. Faguet écrit de Corneille : « Né dans un demi-siècle romantique, il a été romantique très pleinement etquelquefois trop. » Que pensez-vous de cette opinion ? Pour traiter ce sujet, il faut examiner les questions suivantes : Problème explicatif : dans quelle mesure le «romantisme » de Corneille s'explique-t-il par le romantisme de son temps? — Problème descriptif ou analytique : enquoi consiste le romantisme de Corneille? — Problème polémique ou de jugement : que vaut ce roma...
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On se plaint quelquefois des écrivains qui disent moi. Parlez-nous de nos, leur crie-t-on. Hélas ! Quand je vous parle de moi, je vous parle de vous. Comment ne le sentez-vous pas ? Ah ! Insensé qui crois que je ne suis pas toi ! (Victor HUGO). qu'en pensez-vous ?
Le lyrisme est absent de la poésie du XVIIe siècle. Pour Malherbe lui-même les thèmes lyriques ne sont que des lieuxcommuns qu'il développe à la façon d'un orateur : Stances à Du Perrier. C'est seulement au XIXe siècle, avec leRomantisme et sous l'influence de Jean-Jacques et de Chateaubriand, que la poésie deviendra vraiment l'âme qui serévèle et se répand. Ce n'a pas été sans protestation et le Parnasse sera une réaction contre la poésie personnelle(sonnet de Leconte de Lisle : les Montreur...
- Dans l'Art poétique (1674), Boileau analyse ce qui contribue à l'échec ou à la réussite d'une pièce de théâtre. Pour le choix du thème et la mise en oeuvre de l'intrigue, il écrit : « Jamais au spectateur n'offrez rien d'incroyable ; / Le vrai peut quelquefois n'être pas vraisemblable ;/ Une merveille absurde est pour moi sans appas :/ L'esprit n'est point ému de ce qu'il ne croit pas. » Pensez-vous que ces préceptes, établis à l'époque du théâtre classique et pour lui, puissent être
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? Commentez ce texte de Descartes, eextrait du Discours de la méthode.
Descartes ► Commentez ce texte de Descartes, extrait du Discours de la méthode. DOCUMENT « Je ne sais si je dois vous entretenir des premières méditations 1 que j'ai faites ; car elles sont si métaphysiques et si peu communes, 1 j qu'elles ne seront peut-être pas au goût de tout le monde. Et tau- il tefois, afin qu'on puisse juger si les fondements que j'ai pris sont •: s assez fermes, je me trouve en quelque façon contraint d'en parler. [j J'avais...
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Un Provençal à Paris. Jean GIONO, Les vraies richesses.
Un Provençal à Paris . .. . Voilà la rue de Belleville qui monte et peu à peu me débarrasse des manteaux de feu. La frange de néon mul ticolore qui éblouissait mes yeux s'affaisse et retombe dans l'ombre. Le long de la rue, les épiceries et les maga sins de· légumes ne sont plus éclairés �v2 par les lampes d'intérieur. Les commis rentrent les étalages. Les barri ques d'anchois salés, avec l'alignement rayonnant de leurs petits poissons métallique...
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dissertation Molière: « Les médecins font assez souvent pleurer pour qu'ils fassent quelquefois rire »
Dissertation Français La description donnée par Louis XIV à propos des médecins relève en quelles sortes la vision que cherche à transmettre Molière dans ses nombreuses pièces de théâtre au sujet de la médecine (l’amour médecin, le médecin volant, le médecin malgré lui, le docteur amoureux). La plupart des œuvres de celui-ci relève de la comédie et sont plus appropriées au rire que provoquent ceux-ci. Sujet: Louis XIV a affirmé : « Les médecins font assez souvent pleurer pour qu'ils f...
- 1861 SUJETS-TEXTES DE L’ÉPREUVE DE PHILOSOPHIE AU BACCALAURÉAT