5 résultats pour "politesse"

• la politesse

  Tout d’abord la politesse est un ensemble de règles de biens éance et de courtoisie, qui appara ît   comme important dans notre soci été.  C’est un  langage   commun et universel qui permet de se   comprendre. N éanmoins  être poli veut­il forc ément dire  être hypocrite   ? L’hypocrisie par d éfinition est   une sorte de mensonge par lequel nous nous dissimulons vis­ à­vis des autres, pour notre int érêt. Elle   est fausset é. Aussi pourquoi avons­nous tous un jour ou l’autre port é un  éga...

• Politesse

• La politesse a-t-elle une valeur morale ou bien n'est-elle qu'une convention sociale ?

  ÉLÉMENTS DE RÉFLEXION • Bien prendre en compte que la question n'est pas de savoir si — dans une certaine mesure — la politesse est une« convention sociale », mais si « elle n'est qu'une convention sociale » et si « elle a valeur morale ».Toute considération ne menant qu'à mettre en évidence que la politesse est dans une certaine mesure conventionsociale est inopportune compte tenu du sujet précis posé. • Qu'est-ce qui peut amener à penser que la politesse peut avoir « valeur morale » (alors qu'...

• Max a écrit 2 lettres, mais il a oublié la formule de début et laformule de politesse.

  1 / 2 Max a écrit 2 lettres, mais il a oublié la formule de début et la formule de politesse. Place-les au bon endroit Mon cher tonton / monsieur le chef de gare / gros bisous / je vous remercie / Max / Maxime Lecourbe Ne t’inquiète pas, mon pauvre tonton. J’ai tardé à t’écrire parce que j’ai pensé que tu n’étais pas à la maison. Je vais très bien, comme le chat. Je me demande si le vétérinaire a bien soigné le chien. Tu me donneras de ses nouvelles. Je t’enverrai des cartes postales et je te...

• URFE, Honoré d' (1567-1625)Ecrivain, il est l'auteur de L'Astrée, roman pastoral, où l'on trouve l'idéal de politesse galante qui inspire la société précieuse de la première moitié du XVIIe siècle.

  URFE, Honoré d’ (1567-1625) Ecrivain, il est l’auteur de L'Astrée , roman pastoral, où l’on trouve l’idéal de politesse galante qui inspire la société précieuse de la première moitié du XVII esiècle.