5 résultats pour "melchior"
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Baville, Nicolas de Lamoignon deF160ACassard, JacquesF160CNoailles, cardinal deF160EOrry, PhilibertF160DPolignac, Melchior
Baville, Nicolas de Lamoignon de Cassard, Jacques Noailles, cardinal de Orry, Philibert Polignac, Melchior de
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GRIMM, Frédéric Melchior (1723-1807)Lancé par Voltaire à l'occasion de son
GRIMM, Frédéric Melchior (1723-1807) Lancé par Voltaire à l’occasion de son Petit prophète de Bochmischbroda (1753), vilipendé par Rousseau qui avait d’ailleurs à se plaindre de lui, constant ami de Diderot qui l’aide dans sa Correspondance , c’est une figure plus brillante que sympathique et curieusement représentative d’un certain cosmopolitisme : ce critique français, né à Ratisbonne, meurt à Gotha, après avoir rempli des missions diplomatiques pour la Russie et pour la ville libre de Franc...
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Frédéric Melchior Grimm1723-1807Il écrit beaucoup mieux que Fréron, mais il est loin d'avoir sa courageuse indépendance.
Frédéric Melchior Grimm 1723-1807 Il écrit beaucoup mieux que Fréron, mais il est loin d'avoir sa courageuse indépendance. Et sa Correspondance littéraire, philosophique et critique ne parut qu'après sa mort, étant dans le principe une correspondance privément adressée à des souverains étrangers, qui l'appointaient pour cela. C'est une mine de renseignements pour l'histoire de l'époque. “ Lancé ” par Voltaire à l'occasion de son Petit prophète de Bochmischbroda (1753), vilipendé par Rousseau q...
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POLIGNAC, Melchior de (1661-1742)Cardinal, diplomate et écrivain de l'Académie française, il est l'auteur de l'Anti-Lucrèce, poème latin cherchant à réfuter le matérialisme.
POLIGNAC, Melchior de (1661-1742) Cardinal, diplomate et écrivain de l’Académie française, il est l’auteur de l’Anti-Lucrèce , poème latin cherchant à réfuter le matérialisme.
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Melchior Broederlamfin du XIVe siècleNé sans doute à Ypres, mort après 1410, il travailla à Ypres, se rendit à Paris et à Dijon.
Melchior Broederlam fin du XIVe siècle Né sans doute à Ypres, mort après 1410, il travailla à Ypres, se rendit à Paris et à Dijon. D’abord au service de Louis de Mâle, il décora le château de Hesdin ; nommé ensuite, en 1384, peintre et valet de chambre de Philippe le Hardi, duc de Bourgogne, il exécuta, de 1392 à 1399, les volets d’un retable destiné à la chartreuse de Champmol, maintenant au musée de Dijon, tout empreints d’italianisme. En 1407, il peignit pour la chapelle des comtes de Flandre...