12 résultats pour "insensé"
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Ah ! insensé qui crois que je ne suis pas toi. Victor Hugo
Ah ! insensé qui crois que je ne suis pas toi. Victor Hugo Les romantiques ont parfois été accusés d'accorder trop d'importance à leur « moi ». Victor Hugo se défendcontre cette accusation dans la préface de son recueil de poèmes intitulé Les Contemplations (1856). Il n'y a là nulégocentrisme, nul égoïsme, explique-t-il, car le poète n'exprime pas seulement ce qui se passe dans son âme, maisaussi ce que ressentent les autres hommes.Ayant expliqué que son livre pourrait s'appeler Les Mémoir...
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Hugo a écrit: « Quand je vous parle de moi, je vous parle de vous. Comment ne le sentez-vous pas ? Ah ! Insensé qui crois que je ne suis pas toi. » Qu'en pensez-vous ?
Hugo a écrit: « Quand je vous parle de moi, je vous parle de vous. Comment ne le sentez-vous pas ? Ah ! Insensé qui crois que je ne suis pas toi. » Qu'en pensez-vous ? Analyse du sujet et problématisation : Hugo évoque, dans cette phrase des Contemplations , la portée universelle d’une littérature personnelle. Il établit une équivalence entre le « moi » de l’auteur et celui du lecteur( donc de tous les lecteurs potentiels) qui semblent entrer en communion lors de la lecture. Le lecteur refu...
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Hugo a écrit: Quand je vous parle de moi, je vous parle de vous. Comment ne le sentez-vous pas ? Ah ! Insensé qui crois que je ne suis pas toi. Qu'en pensez-vous ?
Hugo a écrit: « Quand je vous parle de moi, je vous parle de vous. Comment ne le sentez-vous pas ? Ah ! Insensé qui crois que je ne suis pas toi. » Qu'en pensez-vous ? Analyse du sujet et problématisation : Hugo évoque, dans cette phrase des Contemplations , la portée universelle d'une littérature personnelle. Il établit une équivalence entre le « moi » de l'auteur et celui du lecteur( donc de tous les lecteurs potentiels) quisemblent entrer en communion lors de la lecture. Le lecteur refusan...
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Insensé celui qui, meurtrier du père, laissera vivre les enfants
NT1ffLOS, ôs TrŒTÉpa 1CTE(vas ffai,8as È,yacaTaALffOL Insensé celui qui, meurtrier du père, laissera vivre les enfants Ce proverbe rappelle que lorsqu'on veut arriver à ses fins, il faut prendre toutes les précautions nécessaires et envisager toutes les consé quences possibles, y compris les plus dangereuses. Il s'agit d'un frag ment des Chants cypriens (26 Davies), attesté par Aristote (Rhétorique, 1376a 6 sq.; 1395a 15 sq.); Polybe (23, 10...
- Au loin, roulent les chars des triomphateurs du monde et le tumulte insensé des acclamations populaires. Léon Bloy, le Désespéré, ABU, la Bibliothèque universelle
- Dans la préface de son recueil de poèmes Les Contemplations (1856), Victor Hugo répond à ceux qui se plaignent des écrivains qui disent moi : « Ah ! quand je vous parle de moi, je vous parle de vous. Comment ne le sentez-vous pas ? Ah ! insensé qui crois que je ne suis pas toi ! ?
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« On se plaint quelquefois des écrivains qui disent moi. Parlez-nous de nous, leur crie-t-on. Hélas! quand je vous parle de moi, je vous parle de vous. Comment ne le sentez-vous pas? Ah! insensé qui crois que je ne suis pas toi! » (Victor Hugo.)
1 / 2 102 XIXe SIÈCLE III. Expression. D'autres ont, en effet, été plus artistes. Pour lui il ne veut pas connaître le dur travail de la lime. De là des défauts et des négligences incontestables.... Mais il possède une abondance, une facilité qui ont rarement été égalées.... Il a aussi une science innée du rythme et de la mélodie du vers français. (Citations.) Il a le sentiment des harmonies douces et caressantes, des rythmes glissants et fugitifs Maintenant sous le ciel t...
- Un acte humain peut-il être insensé ?
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- Écrire une fable ayant pour morale : « vu la mobilité des choses humaines peut-on concevoir une méthode plus insensée que d'élever un enfant comme n'ayant jamais à sortir de sa chambre ».
- « Ah insensé, qui crois que je ne suis pas toi ! » a écrit Victor Hugo dans la préface des Contemplations. Dans quelle mesure l’expérience personnelle des poètes peut-elle concerner le lecteur ?
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On se plaint quelquefois des écrivains qui disent moi. Parlez-nous de nos, leur crie-t-on. Hélas ! Quand je vous parle de moi, je vous parle de vous. Comment ne le sentez-vous pas ? Ah ! Insensé qui crois que je ne suis pas toi ! (Victor HUGO). qu'en pensez-vous ?
Le lyrisme est absent de la poésie du XVIIe siècle. Pour Malherbe lui-même les thèmes lyriques ne sont que des lieuxcommuns qu'il développe à la façon d'un orateur : Stances à Du Perrier. C'est seulement au XIXe siècle, avec leRomantisme et sous l'influence de Jean-Jacques et de Chateaubriand, que la poésie deviendra vraiment l'âme qui serévèle et se répand. Ce n'a pas été sans protestation et le Parnasse sera une réaction contre la poésie personnelle(sonnet de Leconte de Lisle : les Montreur...
- Rédigez un apologue à la manière de La Boétie et commençant par « Peuples insensés... ». Il s'agira un discours adressé au peuple pour montrer que nous sommes assujettis à la mode et pour montrer de quelles manières la mode nous rend esclaves.