5 résultats pour "hopkins"
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Gerard Manley Hopkins
Gerard Manley Hopkins Gerard Manley Hopkins rima dès l'école et se mit sérieusement à la composition poétique pendant ses années d'Oxford (1863-1867). Ilpassa de l'Anglicanisme à l'Église romaine, après avoir consulté le vieux Newman et, l'Université terminée, il enseigna pendant deuxans chez les Oratoriens de Birmingham, après quoi il jeta tous ses poèmes au panier et joignit la Compagnie de Jésus (1868). Absorbépar sa vocation, il n'écrivit plus pendant sept ans, ce qui ne l'empêcha pas de méd...
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Gerard Manley Hopkins par Dominique de Grunne Gerard Manley Hopkins rima dès l'école et se mit sérieusement à lacomposition poétique pendant ses années d'Oxford (1863-1867).
Gerard Manley Hopkins
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Harry Hopkins
Harry Hopkins L'ambassadeur «officieux» de Roosevelt.Né en 1890 à Sioux City, lowa, Harry Hopkins fut le principal homme de confiance de Roosevelt et certainement l'unedes plus influentes personnalités publiques de la Seconde Guerre mondiale, sans avoir aucune fonction politiqueofficielle. Au début des années 30, il travailla au programme d'aide sociale du «New Deal» et fut nommé ministre duCommerce en 1939. Bien que souffrant d'une grave maladie chronique, Hopkins occupa, durant la guerre, l...
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Robert Bridges1844-1930Ami et confident de Gérard Manley Hopkins, il s'est vivement intéressé aux problèmes de laprosodie, comme en témoigne sa Prosodie de Milton (1893).
Robert Bridges 1844-1930 Ami et confident de Gérard Manley Hopkins, il s'est vivement intéressé aux problèmes de la prosodie, comme en témoigne sa Prosodie de Milton (1893). Il publie en 1876, sous le titre la Croissance de l'amour, une série de sonnets, en 1885 Eros et Psyché , traduction en vers d'Apulée ; en 1890 les premiers livres de ses Courts Poèmes . Au soir de sa vie, il publie son fameux Testament de la beauté (1929).
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L'expressionnisme et l'irréalisme
L'expressionnisme et l'irréalisme Tout vrai poète, disait Gérard Manley Hopkins, doit être original : l'originalité est la condition du génie poétique, sibien que tout poète est comme une espèce dans la nature, non comme un individu générique, et ne peut jamaisavoir de récurrence. N'est-ce pas là cette douce, cette ravissante étrangeté que Walter Pater comparait à lafloraison unique de l'alors ? Et n'est-ce pas également cette " patrie perdue " dont Proust nous dit que tout artistevéritable...