6 résultats pour "heredia"
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SUR LE LIVRE DES AMOURS DE PIERRE DE RONSARD - HEREDIA, Les Trophées.
SUR LE LIVRE DES AMOURS DE PIERRE DE RONSARD - HEREDIA, Les Trophées. Jadis, plus d'un amant, aux jardins de Bourgueil,A gravé plus d'un nom dans l'écorce qu'il ouvre,Et plus d'un coeur, sous l'or des hauts plafonds du Louvre,A l'éclair d'un sourire a tressailli d'orgueil. Qu'importe! Rien n'a dit leur ivresse ou leur deuil;Ils gisent tout entiers entre quatre ais de rouvre;Et nul n'a disputé, sous l'herbe qui les couvre,Leur inerte poussière à l'oubli du cercueil. Tout meurt. Marie, Hélène e...
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Sujet: José-Maria de HEREDIA (1842-1905) (Recueil : Les Trophées) - La Trebbia
Sujet: José-Maria de HEREDIA (1842-1905) (Recueil : Les Trophées) - La Trebbia L'aube d'un jour sinistre a blanchi les hauteurs. Le camp s'éveille. En bas roule et gronde le fleuve Où l'escadron léger des Numides s'abreuve. Partout sonne l'appel clair des buccinateurs. Car malgré Scipion, les augures menteurs, La Trebbia débordée, et qu'il vente et qu'il pleuve, Sempronius Consul, fier de sa gloire neuve, A fait lever la hache et marcher les licteurs. Rougissant le ciel noir de flamboiements lug...
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Sujet: José-Maria de HEREDIA (1842-1905) (Recueil : Les Trophées) - Sur le Livre des Amours de Pierre de Ronsard
Sujet: José-Maria de HEREDIA (1842-1905) (Recueil : Les Trophées) - Sur le Livre des Amours de Pierre de Ronsard Jadis plus d'un amant, aux jardins de Bourgueil, A gravé plus d'un nom dans l'écorce qu'il ouvre, Et plus d'un coeur, sous l'or des hauts plafonds du Louvre, A l'éclair d'un sourire a tressailli d'orgueil. Qu'importe ? Rien n'a dit leur ivresse ou leur deuil. Ils gisent tout entiers entre quatre ais de rouvre Et nul n'a disputé, sous l'herbe qui les couvre, Leur inerte poussière à l'o...
- Dupont, Pierre Heredia, José Maria de
- HOUVILLE (Marie-Louise-Antoinette de Heredia, dit Gérard d')
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HEREDIA, José Maria de (1842 - 1905)Poète, il a pour maître Leconte de Lisle.
HEREDIA, José Maria de (1842 - 1905) Poète, il a pour maître Leconte de Lisle. Lui même se révèle un grand poète de l'école parnassienne avec Trophées (1893), un recueil de 118 sonnets.