4 résultats pour "déçu"
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Jean Fernel1497-1558Comme Descartes, à qui certains ont voulu le comparer, Jean Fernel, déçu par l'inanité del'enseignement scolastique, résolut de reprendre ses études en remontant aux sources et,pour un temps, se consacra à l'étude des Anciens.
Jean Fernel 1497-1558 Comme Descartes, à qui certains ont voulu le comparer, Jean Fernel, déçu par l'inanité de l'enseignement scolastique, résolut de reprendre ses études en remontant aux sources et, pour un temps, se consacra à l'étude des Anciens. Son esprit était ouvert à toutes choses : philosophe, mathématicien, excellent expérimentateur, il avait une puissance de travail extraordinaire et une clarté d'exposition remarquable ; ses goûts le portaient à embrasser plusieurs branches du savoir...
- Spes confisa Deo numquam confuse recedit / L'espoir que l'on met en Dieu n'est jamais déçu
- En 1898, après les premières représentations de Lorenzaccio, Jules Lemaître écrit à propos de l'ambiguïté de son héros : « Le personnage de Lorenzaccio est aussi riche de signification qu'un Faust ou qu'un Hamlet ; comme eux, il figure dans une fable particulière, l'homme, l'éternel inquiet et l'éternel déçu, sous un de ses plus larges aspects. Et ce personnage est une créature vivante, il est de chair, de sang, de nerfs et de bile. » Vous commenterez ce jugement, en vous appuyant sur
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A propos du romancier, Marcel Proust écrit: D'un mot, il peut nous affranchir. Par lui, nous perdons notre ancienne condition pour connaître celle du général, du tisseur, de la chanteuse, du gentilhomme campagnard, la vie des champs, le jeu, la chasse, la haine, l'amour, la vie des camps... Notre infortune ou notre fortune cesse pour un instant de nous tyranniser... C'est pourquoi, en fermant un beau roman triste, nous nous sentons si heureux. Commentez et critiquez.
Marcel Proust considère le romancier comme pouvant être pour nous le faiseur d'une vie nouvelle, et noustransporter de notre existence quelconque, aussi bien mouvementée, pleine de dangers ou de succès, que banale etdu premier homme venu. Le roman est et doit être un moyen d'oublier momentanément ou notre joie ou nos soucis.Enfin, ajoute-t-il, un roman bien composé, à la fois bien écrit et bien mené, un beau roman, a le pouvoir de nousrendre heureux pendant un moment, qu'il soit triste...